lundi 25 mai 2015

LES AMBITIONS DE SAMBI



Selon mon analyse, la constitution d’un pays est là pour garantir la paix, la sécurité et délimiter les pouvoirs de chacun. Ainsi, tout ce qui est permis par la constitution mais qui peut constituer un problème de sécurité, la jurisprudence doit nous permettre de passer outre et d’abroger la loi, car les lois sont faites pour servir l’homme et non pour l’asservir.
Alors que dit l’esprit de la tournante ? Quelle qualité a permis à Sambi d’être président, d’être comorien ou tout d’abord le fait qu’il était anjouanais selon l’esprit de la tournante ?
Il ne s’agit pas de remettre e cause la présidence tournante mais de voir si l’esprit de tournante devrait lui permettre de postuler
Il y a lieu de se demander ce que gagnerait le pays ou perdrait le pays avec ou sans sambi
En conséquence, qu’est ce que le pays a gagné lors de sa présidence, fallait il vendre à des bédouins la nationalité comorienne ? Qu’est ce que le pays en a tiré de cette vente ? Toujours la misère
Alors faut-il laisser Sambi à se représenter, et quel danger court le pays avec Sambi , le Chiisme, la montée du mafia liée à nos nationalités, l’avènement de plusieurs têtes qui s’enrichiront à notre dos sans être jugé comme Abou Achirafi Bacar.
Bref, je n’ai pas toutes les questions nécessaires que l’on devrait se poser mais je crois qu’il est temps d’en parler car la question nous concerne car la divergence d’opinion de nos politiciens est normale mais certaines choses qui touchent le pays, le peuple, la sécurité doivent être universelle, et o doit parler d’une seule voix
source facebook
ben moussa mohamed arif


La diaspora et son droit de vot



Aucune personne ayant un sens moral n’osera jamais dire que la diaspora ne devrait pas user de son droit de vote acquis depuis 2005 mais force est de constater que notre pays ne s’est jamais donné les moyens pour concrétiser cela malgré les nombreuses élections déroulées il y a dix ans.
Mais, un pays qui n’a jamais pu financer ses propres élections et qui fait toujours recours à l’aide pourra t’il organiser des élections en dehors de son territoire. Puisque si on parle de diaspora il ne faut pas se contenter uniquement de ceux qui sont en France mais aussi dans les autres pays comme Madagascar, Egypte, Sénégal ….
Mais parlons de la France, les comoriens ne se trouvent pas seulement à Paris et à ses banlieues, mais il faut aussi se rappeler de Marseille qui est considéré par certains journalistes comme étant la deuxième capitale comorienne après Moroni, il y aussi Dunkerque, Lyon, Rennes, Nantes….
Soyons honnêtes sans tenir compte de notre soif de donner notre voix quant au choix des autorités qui auront la destinée de notre très cher pays. En vérité, je me demande si vraiment nous avons vraiment les moyens d’assurer la transparence totale de cette élection car il serait malheureux et inacceptable que cela devient une mascarade et manipulation.
Bien que certains ne veuillent pas entendre raison et s’entête malgré que cela soit vrai, une logistique de grande envergure s’avère indispensable, et avoir les moyens est une chose et se rendre compte de la faisabilité en étant conscient en est une autre.
Je conçois que ce qui est primordiale c’est de lancer le chantier de la sécurisation et d’en disposer les moyens.
Par ailleurs, il serait un crime de lèse-majesté si la diaspora hexagonale se prononçait et en laisser aux oubliettes celle des autres pays.
Quoiqu’il en soit, le gouvernement a la lourde responsabilité de tenir des élections incontestables. Et cela est presque un rêve mais réalisable. Dans cette foulée, notons que le souhait de la diaspora de participer, c’est de donner leur avis et que cela soit prise en compte convenablement. Ainsi assurons-nous que notre expression sera traitée dans la transparence et que tous les moyens nécessaires sont disponibles avant de se lancer à cela. Car on ne doit pas permettre aux assoiffés de se servir de nous, et de manipuler nos voix à leur fin car la situation telle qu’elle est actuellement laisse présager une mascarade et le temps que nous en disposons ne nous permettra pas de sécuriser cette élection de la diaspora.
Ainsi, le gouvernement comorien devrait dès à présent étudier les dispositions à prendre et d’en chercher les moyens avec réalisme et air toute idée de complexe, car s’il agit dans l’opiniâtreté cela pourrait diviser les comoriens de l’extérieur comme de l’intérieur.
Puisqu’il ne suffit pas de dire de venir se recenser, et faire sa carte consulaire pour dire que là les dispositions du vote de la diaspora sont prises.