mardi 30 juin 2015

COMMUNIQUÉ DE LA CTC : LA CRISE DES SALAIRES EST AIGUE




COMMUNIQUE DE LA CONFEDERATION DES TRAVAILLEUSES ET TRAVAILLEURS DES COMORES ( CTC)

Les promesses de la Mamwé pour atténuer ses difficultés à fournir l’eau et l’électricité pendant le mois de ramadan ne sont pas tenues.Le respect des engagements pris, ce n’est pas le point fort de la Direction de l’Entreprise publique. C’est même devenu une règle de gouvernance dans le pays, ce qui met à mal le dialogue social. La Fédération Comorienne des Consommateurs est à bout et avec elle la CTC, car tout travailleur est naturellement consommateur. L’économie du pays ne peut plus ainsi être continuellement prise en otage et le mépris des consommateurs perdurer. La coalition des forces sociales s’impose, pour des actions communes.

La crise des salaires est aigue. Et ce n’est pas le petit mois de salaire que viennent de percevoir les agents de l’Etat qui arrangera les choses.Pour ceux qui ne le savent pas, c’est le salaire du mois de mars 2015 qui vient d’être payé, ce 23 juin 2015, soit six longs et pénibles jours après le début du mois sacré. Cette situation est intenable. Il faut agir, et très vite. Sinon les impayés vont se cumuler, lentement mais sûrement.C’est pourquoi la CTC appelle à l’action, dès la fin du ramadan, si les salaires des mois d’avril et mai 2015 ne sont pas payés.

On nous dit que les recettes ont baissé et que la masse salariale a explosé. Ce que le gouvernement ne dit pas c’est que toutes les recettes ne vont pas dans les caisses de l’Etat. Et si on est passé, à peu près, de 1 milliard 800 millions à 2 milliards 400 millions de masse salariale mensuelle, en deux ans, c’est à cause des recrutements intempestifs opérés, et par les îles et par le gouvernement central, en violation des règles. La réforme de la fonction publique dont se prévaut le gouvernement, pour séduire le FMI, ne sera qu’un autre coup d’épée dans l’eau, si ces pratiques subsistent.

Ce n’est pas en trichant et en leurrant les jeunes qu’on s’attaquera au problème du chômage, qui les frappe de plein fouet. En ce début de deuxième semestre 2015, il est à 34%.

Le FMI n’ignore pas le manque de volonté réelle du gouvernement de mettre en œuvre les mesures nécessaires de redressement macroéconomique.

Par conséquent, la CTC met le FMI en garde et annonce qu’elle s’opposera à la signature d’un Programme avec le gouvernement comorien, si aucun progrès social n’est enregistré d’ici octobre 2015. D’ici là, nous voulons le règlement de tous les salaires impayés dans la fonction publique, nous voulons l’instauration d’un salaire minimum, nous voulons la ratification de la Convention 102 de l’OIT sur la sécurité sociale et nous voulons constater les premières retombées de l’instauration du Guichet unique pour le Trésor.

Moroni, le 25 juin 2015

LE COLLECTIF DES MÈRES DÉNONCE LE MÉPRIS DU GOUVERNEMENT





SERVICES PUBLICS. «Nous aurions aimé vous entendre dire aujourd'hui que vous n'acceptez jamais que vos citoyens soient méprisés et ignorés par des sociétés d'Etat telles que la Mamwe et Comores Télécom», interpelle le collectif  des mères de familles dans une lettre adressé au président de la république.


Un collectif de femmes, composé essentiellement de mères de familles, interpelle le président de la république sur «la réalité» de la situation socio-économique  qui  prévaut dans le pays. Dans une lettre adressée ce samedi 20 juin au président Ikililou Dhoinine,  plus de 200 mères de familles se disent atterrées. «Nous aurions aimé vous entendre dire aujourd'hui que vous n'acceptez jamais que vos citoyens soient méprisés et ignorés par des sociétés d'Etat telles que la Mamwe et Comores Télécom», lit-on dans cette lettre.

Le président est saisi par  le collectif sur la question  de la facturation systématique des toutes les communications vocales via internet (VoIP) dans tous les réseaux de l'opérateur public des télécommunications. «Vous devez sans délai influer pour faire annuler la décision illégale de Comores Télécom sur les applications Voip comme préalable à toute consultation Etat-Comores Télécom-secteur privé-consommateur sur les tarifs et prestations de la société d'Etat», demandent les mères au président de la République.


Elles disent ne pas comprendre qu'à l'heure où le monde entier, sans exception, fonctionne et progresse avec le haut débit, on «veuille nous réduire à poster des lettres pour le cousin qui vit à l'extérieur, tout simplement perce que les nouvelles technologies sont rendues inaccessibles». C'est la énième interpellation lancée, de part et d'autre, pour dénoncer le programme de Comores Télécom pour surfacturer les communications sur internet utilisant la technologie Voip sur les réseaux 3G, Evdo (clé Mpessi), Lsi, Adsl et le Wifi.


Il y a quelques semaines, de nombreux usagers ont manifesté leur ras-le-bol devant le siège de Comores Télécom. Ceci après les diverses interpellation des organisations de défense des droits des consommateurs, et des membres de la commission de la production de l'assemblée nationale.  « L'usage de l'internet dans notre pays n'est pas pour les riches, les communications par Voip ne sont pas non plus un luxe. les cybers servent beaucoup à la grand-mère du village heureuse de pouvoir converser avec son fils parti chercher le confort ailleurs, rire avec ses petits enfants qu'elle n'aura pas l'occasion de voir avant longtemps et s'entretenir avec sa belle fille sur les besoins matériels et financiers, le strict minimum pour sa survie», déplorent les mères dans la lettre.


Mais ce n'est pas tout. Le collectif n'a pas manqué  de  tirer l'attention au chef de l'Etat sur l'augmentation du coût de la vie et la régression du pouvoir d'achat  du Comorien.  « Nous saisissons cette occasion pour vous signaler que depuis bientôt deux ans, il est impossible de nourrir correctement une famille car les prix des produits de première nécessité ont subi une inflation record.» Parmi les exemples avancés par le collectif des mères atterrées, «le poisson est passé de 1000 francs le kilo en saison d'abondance à 2000 francs et voir 3500 francs régulièrement. La viande la moins chère est à 2000 francs le kilo, les ailes de poulet sont certes à 1000 francs mais un produit à risque tellement son état sur les étalages fait horreur.


[...] A cela s'ajoute des coupures quotidiennes d'électricités qui constituent le principal frein au développement. » Elles signalent par ailleurs le fait, non moins inquiétant, que les produits locaux sont devenus des denrées de luxe. « C'est le cri des mères face à une situation de désespoir. [...]  Aujourd'hui, nous nous sommes  directement adressées au président de la république, c'est une première surtout dans cette affaire de facturation des communications VoIP par Comores Télécom. jusqu'à maintenant nous n'avons pas eu de réponse. Nous espérons que nos doléances sont en train d'être examinées», a soutenu Nasrat Mohamed Issa, vice-présidente de la Fédération comorienne des consommateurs et  l'une des signataires  de la pétition.

Kamardine Soulé

SOURCE ; ALWATWAN

Affaire Boulle Mining : Foud Mohaj demande une enquête parlementaire



Le vice-président en charge de la Santé, Foud Mohaj, a demandé au cours d’une conférence de presse ce matin à Moroni l’ouverture d’une enquête parlementaire sur le dossier Boule Mining qui risque de coûter plusieurs centaines de millions à l’Etat comorien.

En faisant le point de son récent voyage à Genève, le vice-président est revenu sur l’affaire qui oppose le groupe pétrolier Boule Mining et le gouvernement comorien.

Une audience a eu lieu, début mai, à la Cour d’arbitrage de Londres, et c’est le vice-président Fouad Mohaj qui a représenté les Comores sur ordre du chef de chef de l’Etat. « Je regrette que le parlement précédent n’a pas fait cette enquête pour déterminer les responsabilités des uns et des autres dans ce dossier, mais je demande aux nouveaux députés de se saisir rapidement », a lancé le vice-président en charge de la Santé qui estime que ce dossier coûte cher au contribuable comorien.

Effectivement, car Il a fallu des déplacements jusqu’à Londres, payer un cabinet d’avocats spécialisé dans le domaine, et si par hasard Boulle Mining gagne, il faudra payer de grosse indemnités. . Le vice-président qui vise directement ses collègues Nourdine Bourhane et Mohamed Ali soilihi, a constaté la présence de Dr Mtara Maecha dans cette audience en tant que membre de la partie Boule Mining. .
Karibu Mag

En rogne et à contre-courant !


En rogne et à contre-courant !
Je pense au plus profond de moi-même qu'il faut faire une pause électorale. Parce qu'il n'existe pas encore de parti politique qui répond aux normes requises pour prétendre à une alternance apaisée et pour porter un projet politique et économique global. Je ne vois surtout pas encore un leader qui a fait ses preuves et qui a formé autour de lui une génération avec des ambitions communes et qui peut jurer garder cette homogénéité et cette volonté de partager un destin commun au delà de la période retenue pour la présidence tournante.

J'ai tout bonnement l'impression que depuis 40 ans d'indépendance, nous agissons tous comme ce fou qui se cogne violemment la tête contre le mur, et qui recommence tous les matins, en espérant avec conviction un résultat différent.

Nous n'avons pas le minimum vital. Nous vivons en grande partie au crochet des transferts de la diaspora. L'agriculture est abandonnée, la pêche reste artisanale, le tourisme mis à terre par le retrait des compagnies aériennes de prestige. Les entrepreneurs émérites qui se démènent dans cette jungle se heurtent à une concurrence déloyale et aux services publics non assurés.

El-Marouf, l'hôpital de référence n'est plus subventionné par l'Etat. Le service des urgences est en grève. Sur les trottoirs de la capitale, dans nos villes et villages, des milliers de licenciés, pour la plupart mal formés, et dont le profil ne répond pas aux besoins du marché de l'emploi, sont réduits au chômage. Les jeunes s'accrochent encore à leurs étalages de fortune à Volo-Volo ou marché de Dubaï réduits au statut de chômeurs déguisés.

Moroni la capitale fédérale est partiellement éclairée, le reste du pays est plongé dans le noir, l'activité économique sérieusement ébranlée. Nous n'avons presque pas d'économie et les entreprises publiques sont sommées de sucer à blanc pour survivre et financer un Etat moribond qui survit de mendicité. La justice n'est pas rendue. Les malfaiteurs et les trafiquants s'en sortent souvent et les honnêtes gens mettent les clés sous le paillasson.

Le Fmi et la banque mondiale continuent de narguer le pays avec la même rhétorique. De très bons résultats en début d'année et de très mauvais résultats au milieu de l'année, et des corrections supposées en fin d'année. Trente ans après, Programme après programme, nous sommes plus pauvres que jamais.

Alors on élit un président avec un groupe insulaire pour quoi faire ? Pour errer encore cinq ans durant, et laisser le peu de souveraineté qui nous reste mis aux enchères auprès des compagnies étrangères ? Car après le commerce, la terre, le prochain président vendra tous les blocs supposés contenir des richesses minières à la multinationale qui lui assurera une présidence à vie. Nous risquons d'entrer dans une période trouble, de conflits ouverts, parce nous n'avons pas compris qu'il nous faut un consensus national sur notre vision de l'avenir. Nous avons laissé en l'état tous nos maux : l'intégrité territoriale, le cadastre, les morts en kwassas...

Il n'y a pas à proprement parler de démocratie. Nous ne disposons pas des instruments d'observation des règles pour sanctionner les abus, les dérives, l'utilisation de l'argent et des biens publics pendant les élections. Les détenteurs du pouvoir ont plus de chances de gagner que les autres.

Alors pourquoi à chaque échéance électorale, nous faisons semblant de ne pas connaitre le résultat d'avance. On risque encore cette fois-ci, de foncer tête baissée pour se réveiller cinq ans après, avec par exemple une société d'eau et d'électricité au même niveau. Et plus grave encore, avec les mêmes acteurs politiques.

La fonction politique a perdu de son aura. Des illettrés sont candidats aux présidentielles de 2016. Au lieu de s'interroger, on ricane. Il est temps de faire table rase à un système vicié qui permet l'éloge de la médiocrité et qui humilie l'intelligence et rabaisse la connaissance.

Une expérience avait été tentée, pour dégager un consensus historique. Je pense qu'il faut trouver la solution à nos maux dans les concertations nationales. Parce que les enjeux sont immenses pour les confier à un seul groupe. Parce qu'il n'y a plus rien à pomper. Parce que nous sommes au fond du précipice.

Ramadhan Karrim
Ahmed Ali Amir

Le directeur chargé des affaires arabes et islamiques de la vice présidence en charge des finances, mahamoud Chakir a été arrêté en Arabie Saoudite !


Le directeur chargé des affaires arabes et islamiques de la vice présidence en charge des finances, mahamoud Chakir a été arrêté en Arabie Saoudite !Selon de sources dignes de foi, le directeur chargé des affaires arabes et islamiques de la vice présidence en charge des finances, mahamoud Chakir, originaire de Mbéni, ville où est originaire également, le vice-président Mohamed Ali Soilih alias Mamadou, est arrêté en Arabie Saoudite, et jeté en prison. Il était en compagnie d'une délégation du ministère de la fonction publique et des affaires islamiques, pour négocier le déplacement et l'hébergement de nos pélerins. Mais, à son arrivée à l'aéroport, il a été interpellé, pour avoir détourné de l'argent des pèlerins l'année dernière. A la vice-présidence en charge des finances, c'est la consternation totale. Et une seule question, vint dans la bouche de tout le monde : '' A quand le tour du conseiller chargé du monde arabe du vice-président et cousin d'Andrianatsouly, l'homme de tous les coups bas dans la vente des passeports comoriens, Abdillah Said Soilih, originaire d'Iconi, et beau frère de Mamadou ?'' Pour votre rappel, au cas où vous appreniez qu'Abdillah a subi le même sort que Mahmoud Chakir, ce porteur des valises de passeports vendus aux bédouins, avait fait l'objet d'interdiction du territoire mais Mamadou s'est opposé et il est libre et continue à arnaquer les comoriens. Cette arrestation de Mahmoud Chakir est grave et risque d'entacher nos relations avec l'Arabie Saoudite, et en déplacement à l'étranger, Mamadou est attendu dans les heures qui viennent à Moroni, direction Beit-Salam.

A suivre

Ali Mohamed Kassim
Arabie Saoudite

mardi 23 juin 2015

Quand les mosquées de la Coulée et d'Al Qasm deviennent le camp d'entrainement d'une guerre civile aux Comores


Quand les mosquées de la Coulée et d’Al Qasm deviennent le camp d’entrainement d’une guerre civile aux ComoresDécidément, les ingrédients d'une guerre civile aux Comores sont réunis, mais comme chez nous, on a tendance à banaliser les choses, on fait semblant de ne rien comprendre. Ce qui s'est passé vendredi dernier à la mosquée d'Al Qasm doit interpeller les autorités nationales, même si l'on sait que l'autorité de l'Etat, est faible, et ne peut rien faire contre cette montée en puissance d'un Sambi qui a compris que les grands comoriens ne s'aiment pas et qu'on peut les utiliser à tout moment. En regardant toutes ces personnalités grand comoriennes, entourer Sambi dans cette mosquée de la Coulée, toutes au garde à vous, on a vite compris, que le danger arrive. Et pendant tout ce temps, Mamadou et les siens pillent les caisses de l'Etat et signent de contrats fantômes à l'instar de celui signé avec Boule Mining et qui coûte des milliards de francs comoriens à l'Etat.

Les images de vendredi dernier à la mosquée d'Al Qasm sont déplorables. Quand on voit un ancien ministre de la République, en la personne d'Ahmed Barwane donner de coups de poings à un jeune voulant exprimer son désaroi après la vente de la citoyenneté comorienne à des terroristes éparpillés dans le monde entier par Sambi et ses sbires, on a de quoi à s'inquiéter. Quand on voit également, un escroc de premier rang, qui a détourné plus de 2 milliards de francs comoriens, taxe des hydrocarbures, et que jusqu'aujourd'hui, il est libre de ses mouvements, et cerise sur le gâteau, donne de coups à ce garçon qui a voulu dénoncer la corruption du régime Sambi, il y a de quoi à s'inquiéter. Et cet escroc, n'est autre que Ahmed Said Abdallah, alias Ahmed hydrocarbures. Ils ont parfaitement raison car ce régime est faible et ne fera rien.

Aujourd'hui, la provocation va loin car tous les compagnons de Sambi se réunissent à la mosquée de la Coulée construite avec l'argent des chiites, pour préparer cette guerre civile qui sent partout. Selon une information digne de fois, nombreux sont les disciples de Sambi utilisés aujourd'hui par les services secrets iraniens. Parmi eux, des anciens ministres de la République. Mais cela n'intéresse personne et en particulier le pouvoir Ikililou, impuissant et sans autorité. Cette guerre civile inquiète les grands comoriens visés par cette tragédie avec la volonté d'un seul homme, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. La fermeture de la mosquée de la Coulée par les autorités nationales est plus qu'urgent car aux alentours, les antis Sambi sillonnent et on doit arrêter ce danger. Les fanatiques diront que ce n'est pas sain de fermer une mosquée, alors que le but de construire cette mosquée est de servir de propagande chiite et surtout attiser la haine et monter les uns contre les autres.

On doit noter que le spectacle qui nous est présenté à la sortie de la prière du vendredi dans la mosquée d'Al Qasm, est un message fort à l'égard de ceux qui nous gouvernent aujourd'hui, et ceux qui nous ont gouverné hier. Ikililou et Mamadou ont vite compris qu'ils sont haïs par le peuple et doivent en tirer les conséquences de leur gestion chaotique. Quand les agents de l'Etat en ce mois sacré du ramadan, accusent 5 mois d'arriérés de salaire, comment pouviez-vous aller défier les comoriens dans cette mosquée de la capitale où tout le monde s'y rassemble pour la prière de vendredi ? C'est une insulte et ont récolté ce qu'ils ont semé. Dans notre pays, on déteste ceux qui essaient tant bien que mal à imposer leur image de républicain loin des imposteurs de la République. Barwane et sa moitié Ahmed Hydrocarbures, n'ont pas de leçons à donner à Mamadou car ils sont tous les mêmes et méritent tous la prison . Et d'ailleurs, Barwane pourra leur en parler de la prison car il l'a faite, même si après, il s'est fait réhabiliter par Sambi .

Nous sommes tous convaincus, que les aboiements de Bolero et Msaidié, ne sont qu'un feu de paille, et tant qu'Ikililou restera président de ce pays, Sambi va demeurer toujours tranquille et rien ne se fera. Mais, ce silence d'Ikililou est complice et le moment fatidique où cette guerre civile va s'éclater, qu'il ne nous dise pas, '' tsakiya tsawona'', car la sentence sera lourde et il sera le premier à payer. En tout cas, une chose est claire, tout ce monde qui s'entraîne à cette guerre à la mosquée de la Coulée en présence des supporteurs de Sambi, et de son premier cercle, n'aiment pas Sambi, mais expriment à travers l'homme au turban, leur dégoût face aux détournements devenus quotidiens chez Mamadou et son équipe, et la seule manière de le dénoncer est d'applaudir Sambi. Mais ces applaudissements, ont une seule conséquence et c'est cette guerre civile qu'on ne peut ignorer quant aux manipulations des uns et des autres de ces dernières 48 heures.

Quand les mosquées de la Coulée et d’Al Qasm deviennent le camp d’entrainement d’une guerre civile aux Comores

Ali Ahamada

Saisir l'Assemblée Nationale


Il est commode dans notre pays que certains élus n'arrivent pas à cerner avec aisance l'étendu de leur pouvoir ainsi que son champ d'application. De même, certains moments le peuple, traîne les pieds puisqu'il ne connaît pas la porte au-quelle il faut frapper d'une part, la réaction basée sur le désintéressement et l'indisponibilité répétitive de leur dirigeant d'autre part. Cependant, il fait recours à la révolte, à manifester pour exprimer son mécontentement.

Force est de constater que dans ces genres de manifestations, un manque de responsabilité est aperçu car des dérapages, des débordements, des actes de vandalisme sont mises en évidence. Toutefois, il y a lieu de notifier que les vrais organisateurs n'en sont en rien à ces débordements, mais l'agressivité récurrente de l'armée en fait que certains délinquants en profitent de la situation.

En effet, tout le monde le sait, le constate, le murmure en son fort intérieur, que les dirigeants de Comores Télécom omettent qu'ils sont à la tête d'une société d’État, et qu'ils sont là pour servir le peuple, car ils s'approprient la société, ils considèrent que c'est leur commerce, leur business, c'est bien pour éviter d'avoir une balance déficitaire mais cette attitude est mauvaise car ce comportement est basé sur l’égoïsme et une soif de pouvoir se servir et corrompre davantage en induisant les autres en erreur sur leur jugement car on les fait croire qu'on s'en soucie plus alors que l'objectif c'est de remplir sa poche.

En fait, dans cette crise que traverse le peuple comorien face aux directives de facturation, nos députés doivent impérativement se mettre au travail pour défendre le peuple, car c'est leur rôle et ils sont élu pour cette raison, protéger le peuple. Nos législateurs doivent se pencher sur ce point et une loi sur la consommation des nouvelles technologies doit être élaborée. Chers députés, la balle est uniquement dans votre camp et réagissez rapidement car le chaos peut surgir et vous serez à la fois coupable et responsable.

Le rédacteur en chef, du journal albilad

dimanche 21 juin 2015

MES RELATIONS AVEC FAHMI SAÏD IBRAHIM:UNE NECESSAIRE MISE AU POINT POUR COMPRENDRE CE PERSONNAGE


MES RELATIONS AVEC FAHMI SAÏD IBRAHIM:UNE NECESSAIRE MISE AU POINT POUR COMPRENDRE CE PERSONNAGESon Excellence Saïd HILALI Et Prince Fahmi Said IBRAHIM

Nos relations privées commencèrent alors que Fahmi avait à peine 13 ans et ce n'est pas le lieu pour évoquer davantage de leurs origines, mais ceci permettra de comprendre qu'elles s'inscrivaient de la part d'un aîné dans l' esprit de bienveillance que suscite la jeunesse.


Après avoir terminé une licence au Maroc, Fahmi retourna à Paris et là je lui conseillai vivement d'acquérir au minimum une maîtrise. Il m'indiqua que pour cela il lui faudrait valider les points acquis à Paris II, où il avait étudié quelques mois. Son intention disait-il,  était de devenir avocat mais sans passer par le CAPA à Paris.

Je demandais alors à mon ami, Me JB Toinette, alors bâtonnier du Barreau de Moroni, de lui faciliter son installation et c'est  grâce à Me Toinette que ce souhait devint réalité malgré ses limites.

Le temps passa, puis durant les derniers mois du régime d'Azali, nous étions alors en 2005, il se rapprocha à nouveau de moi. Il tenait à m'informer du danger imminent auquel les Comores étaient confrontées. Ce danger avait un nom. Il s'appelait Abdallah Sambi. C'était expliquait-il alors "un islamiste, chiite radical et illuminé sous le contrôle de l'Ambassade iranienne de Tananarive".

Il entendait soutenir, lors du  scrutin présidentiel qui était annoncé, M. Caambi el Yachrouty. Ce choix était dicté "par la sagesse", " Sambi devait être combattu par tous les moyens". Fahmi était très clair là dessus. Sambi c'est le diable en personne.

D'ailleurs il me confia également que les Français dont son ami l'Ambassadeur Job  étaient très inquiets des relations de son jeune frère avec les islamistes et leur chef Sambi,  il jugeait ses relations indignes et dangereuses. Il désespérait de pouvoir les stopper.

Il vint donc à Paris pour nous rencontrer, Thoueybat et moi. Il tenait à nous présenter son candidat, M. Caambi que je connaissais déjà fort bien. Nous eûmes un dîner de travail avec un Homme Politique français de haut rang, il ne cessa de développer la thése que Caambi était la seule personnalité capable de vaincre la menace islamique véhiculée par Abdallah Sambi, l'homme de Téhéran.

Il me supplia alors de tout faire pour lui organiser à Ouagadougou une rencontre avec le Président Blaise Compaoré, afin d'obtenir son soutien mais après lui avoir exposé le projet politique  dont la colonne vertébrale était de s'opposer à l'élection de Sambi, ce " chiite islamiste".

J'accédais à leur requête et les deux hommes furent reçus à Ouagadougou par les autorités du Faso. Ils dégagèrent au cours de cet entretien une impression générale d'amateurisme qui ne pouvait en aucun cas se traduire en soutien politique. Il n'y eut pas d'autre rencontre.

Caambi  m'avait alors indiqué que le " jeune homme,  qui n'avait aucune expérience, lui avait demandé sans vergogne, en échange de ses activités de lobbying auprès de l'Ambassadeur Job, le poste de ministre des Affaires Etrangères", poste qu'il n'entendait évidemment pas lui offrir d'ailleurs. Il se préparait à lui octroyer un poste au sein de son Cabinet.

L'élection a eu lieu et Caambi  ne fut pas qualifié pour le second tour, il se rangea parmi les soutiens de Sambi, tandis que mon  choix était porté sur Ibrahim Halidi et le Prince Said Ali Kemal.

Peu de temps après l'élection de Sambi, Fahmi revint alors vers moi pour m'informer qu'il cherchait à obtenir un poste de conseiller auprès du Président Sambi. Ma surprise fut totale. Je lui rappelai ses diatribes virulentes contre "l'Ayatollah""qui n'en avait même pas le titre". J'évoquais aussi le cas de son jeune frère, un ancien juge d'une grande intégrité mais qui a milité dès la première heure et qui était devenu membre du cabinet de Sambi, il y avait là un cocktail de contradictions qui créait un écheveau d'incompréhensions.

Je  lui ai donc conseillé assez vivement de poursuivre ses activités professionnelles, de rester l'avocat qu'il était. Il m'indiqua en réponse que ses aînés, Saïd Hassan  Saïd Hachim, Ali Mroudjae, Ali Bazi et Ali Mlahaili lui avaient conseillé de rechercher l'attribution du Gouvernorat de Ngazidja. Ce ne fut qu'un intermède, il modifia sa stratégie et m'informa qu'il mettrait à profit l'appui des anciens pour obtenir en coulisses le poste de ministre des affaires étrangères. C'est ce qui s'est passé, Fahmi fut nommé ministre des affaires étrangères et son frère débarqué du gouvernement. Il n'y avait pas de place pour deux, c'est à nouveau la fratricide d'Abel contre Caïn.

Il connaissait alors mes relations d'amitié avec le Professeur Alpha Condé et le ministre français des affaires étrangères Bernard Kouchner .

Il vint donc naturellement après sa nomination me rencontrer à Paris et me pria de le présenter au Quai d'Orsay, il souhaitait une rencontre officielle avec les hauts cadres du Ministère pour, lors de cette rencontre, rassurer ses interlocuteurs de son amitié, de sa loyauté et de son attachement à la vigueur des « liens » historiques qui unissent les Comores et la France.

J'ai tenu à lui expliquer que des relations d'Etat à Etat ne se fondent pas sur l'amitié et la loyauté mais sur le Respect et la Confiance.

Il m'indiqua alors que le nouvel ambassadeur de France à Moroni ne l'aimait pas, qu'il avait échappé à son influence et qu'il était carrément kidnappé par un collège de personnalités comoriennes.

Il y avait donc du pain sur la planche et une rencontre de haut rang lui fut réservée au Quai d'Orsay ; malheureusement il n'avait rien à proposer et n'exprima que des mots creux.

Il commença à faire des déclarations sur la levée possible et imminente du visa Balladur et surfant sur la vague populaire mais ne pouvant le réaliser,  il changea radicalement et ses propos devinrent outrageuses contre la France , ( pour rappel il a la double nationalité).

Sa défense des intérêts comoriens, tant à Paris qu'à Bruxelles, fut un échec total.

Il me tenait au courant de certains épisodes de sa vie, c'est ainsi qu'il m'appela un jour , alors qu'un sommet de l'Union Africaine se tenait à Kampala, pour me dire , avec un brin de suffisance qu'il avait remis à sa place Jean Ping", le Président en exercice de l'Union Africaine.

Il accusait en effet l'Union Africaine de recevoir des personnalités de l'opposition à Addis Abeba et se demandait si le dialogue avec des opposants déclarés était bien dans la vocation de l'UA. Il m'annonça ensuite avec orgueil le départ de Jean Ping.

J'étais assez surpris de le voir conduire récemment la délégation de l'opposition à la rencontre des autorités de l'U A à Addis et d'agir ainsi pour le bénéfice de Sambi afin d'obtenir un soutien pour résoudre la crise constitutionnelle des Comores.

Alors qu'il essayait de me convaincre que Sambi était le protecteur de la minorité bourgeoise et aristocratique des Makabaïla  et que son devoir était désormais de soutenir ce protecteur. Je l'invitai à mettre de l'ordre dans ses idées et d'écrire son programme politique en restant proche du Prince Kemal qui avait eu ses préférences par le passé.

J'ai vivement regretté certains de ses actes

Des actes en effet qu'il n'a pu commettre sans se sentir  couvert par sa hiérarchie. Certains sont graves et le pire c'est qu'il le reconnaît sans que cela la gêne. Ainsi il facilita la distribution des postes de représentation diplomatique à l'UNESCO à  des libanais et justifia sa décision en affirmant que ses amis libanais aideraient en contrepartie les Comores à négocier le retour de Mayotte au sein de l'Union des Comores. Cette décision revint carrément à dilapider la souveraineté des Comores et lorsque je lui demandai pourquoi il avait agi ainsi, il fut incapable de donner la moindre réponse. Bien entendu, la nomination d'un ambassadeur relève du  décret présidentiel. Un jour,  il avoua à Thoueybat avoir agi  en novice et inexpérience. Il fit là un mal considérable au pays et l'image des Comores en fut fort affectée.

Probablement avais-je raison lorsque je lui conseillai de demeurer l'avocat qu'il avait voulu être. La politique a des exigences, des règles. La moralité, les convictions, les principes, l'honnêteté, le langage de vérité, la constance en sont des valeurs cardinales. Cet homme est une girouette qui n'hésitera jamais à retourner sa veste.

Sambi était à ses yeux" le grand Satan, le chiite, le plus dangereux islamiste des Comores", il  s'est mis à son service sans vergogne, sans retenue et sans honte en attendant qu'un vent favorable le conduise ailleurs. C'est l'histoire connue du rat et du scorpion amenés à traverser la rivière.

Fahmi a tenu des propos outranciers et insultants par proxy, il est coutumier du fait,  il croit peut être ainsi se dédouaner de ses écarts de langage qui ont un spectre très inclusif. Il devrait savoir puisqu'il est avocat que des preuves doivent être fournies à l'appui des accusations qu'on profère. En fait ceci traduit un manque de moralité, une absence de principes. A cet effet d'autres souvenirs me reviennent, ils sont terribles. C'était en 1995, nous étions dans les moments qui suivaient la tentative de coup d'Etat  du mercenaire français Bob Denard, alors que je lui disais combien cette affaire me blessait. Il savait le rôle que j'avais joué pour obtenir l'expulsion de Denard. Pourtant il me dit sans la moindre gêne: "Denard est comorien". Il justifiait son coup, j'étais abasourdi.

Lorsque les hommes oublient le sens des mots qu'ils prononcent, ils sont irresponsables. Dans de tels cas,  la chose publique devrait leur être interdite. Il y a des règles, il y a des principes et celui qui les oublie perd son âme. Et à celui qui perd son âme je voudrais rappeler cette tirade d'Othello 'Mon âme, j'ai perdu mon âme, je ne suis plus qu'une bête."

MES RELATIONS AVEC FAHMI SAÏD IBRAHIM:UNE NECESSAIRE MISE AU POINT POUR COMPRENDRE CE PERSONNAGE

Son Excellence Saïd HILALI

Mamadou le pauvre crédule et éternel Fama de l'updc


Mamadou le pauvre crédule et éternel Fama de l'updcDieu commence à payer ses ingrats, et tant pis pour ceux qui croient que le dernier jour est loin, et ont encore du temps pour faire du mal à ce pauvre peuple. Vendredi 19 juin 2015,Ikililou et le neveux d'Andriantsouly se dirigent à la grande mosquée de Moroni Alqasmy pour la prière de vendredi. Drôle de coïncidence L'homme au turban se rend hasardeusement aussi et tous deux se regardent en chiens de faïence! Le neveu d'Andriantsouly déjà borne préfère fermer ses yeux pour ne pas croiser le regard des curieux, qui observaient avec mépris, la présence de ces hommes qui ont sacrifié les comoriens pour leurs propres intérêts. Comme à l'accoutumée Sambi est reçu avec ovation à son arrivée, mais le visage fermé, car devant lui, deux traitres qu'il a placés au pouvoir, et qui l'ont lâché, d'où son inquiétude de se voir aujourd'hui ou demain trainer en justice.

L'arrivée d'Ikililou avec le potentiel candidat du parti pour la destruction des Comores (UPDC) n'attira l'attention d'aucune personne et pourquoi? L'orateur ou le hatub dans la version en langue nationale du message relatif au mois sacré, attaque sans yeux de mouches la mauvaise gestion et les malversations financières du régime et au premier, le vice président Mamadou qui cumule quatre mois d'arriérés de salaire, délestage, transformation du CHN Elmarouf en mortuaire et gisement d'argent par une hospitalisation de 200 euros par jour au bloc opératoire dénommé Dubaï !

A la sortie du chef de l'Etat et son argentier, une foule immense les a hués: Mamadou voleur !

A en croire ceux qui connaissent le mieux Ikililou disent qu'il s'agit d'un geste délibéré du président muet pour livrer Mamadou au lynchage afin de lui faire comprendre qu'il est détesté par tout le monde. Et selon les murs de la vice-présidence chargée des finances, désormais dotées des oreilles, ce coup est monté par le clan Makridine pour discréditer Mamadou. Mais avec une intelligence limitée à sa taille, il a voulu profiter de cet accompagnement pour faire croire aux uns et autres qu'il a le soutien du chef de l'Etat.

Cependant une rumeur circule dans Moroni que Mamadou s'apprête à déserter l'UPDC au profit de quel Parti ? UNDC, UDZIMA ou JUWA ? En tout cas, ce vendredi 19 juin a été une journée décisive pour Mamadou, qui, désormais, est convaincu que Ikililou ne désire pas sa candidature et selon son entourage, il n'est pas prêt à se porter candidat et au final payer pour les autres.

Pour votre information, le gouverneur Mouigni Baraka, sera aussi lâcher par ses faux lieutenants notamment Raoul de Lapyere et Mohamed Soule alias Goulamaly qui, tous, estiment que Mouigni traite confidentiellement avec son oncle Ahmed Said Islam alias "we nadrabo!" et son beau frère Jawad.

Après le ramadan qui vivra verra!

Mamadou le pauvre crédule et éternel Fama de l'updc



                                                                   Ali Ahamada

vendredi 19 juin 2015

COMMUNIQUÉ DE LA VILLE DE MBENI

COMMUNIQUÉ DE LA VILLE DE MBENI

La ville de Mbeni informe au public et en particulier aux mbeniens que le nom de MOHAMED ALI SOILIHI alias Mamadou ne doit être prononcé qu'en cas qu'on cite une prière.
cet enfant chéri doit être adoré voire-même vénéré, son nom ne doit en aucune manière être associée à de mauvaises choses, à des insultes.

en clair, si on veut évoquer son nom sur quoique ce soit si ce n'est pas pour parler de ces bienfaits et de lui lancer des fleurs, il est recommandé, ordonné et exigé de fermer sa gueule car la personne concernée ainsi que sa famille seront délogées de Mbeni

Notons que le dérapage de la radio RTMC, en osant inviter Mzé Soulé Elbak à leur émission et les sanctions prises à l'encontre de cette radio n'est qu'un avertissement et aucune tolérance ne sera manifestée, car notre patience a atteint ses limites

le présent communiqué prend effet immédiat et doit être diffusé partout surtout sur les réseaux sociaux car si les facebookeurs ne cessent pas leur conneries, on sommera comores telecom de fermer internet

les opportunistes de Mamadou

crise de l'énergie



Le Président de la République s’est entretenu avec le Représentant Résidant su Système des Nations Unies, sur la crise de l’énergie.
« Nous poursuivons nos efforts dans la recherche des solutions à la crise énergétique qui secoue le pays et ensemble avec nos partenaires au développement, nous privilégions les énergies renouvelables pour le respect de notre environnement », c’est ce qu’a déclaré le Président de la République, en recevant le Représentant Résidant su Système des Nations Unies et son équipe à Beit-Salam ce 8 juin 2015 en présence des Conseillers spécial et économique.

Le représentant du Système des Nations Unies, M. Heileman Leo Isidro a informé le Président de la République que tous les efforts sont concentrés pour soutenir l’initiative de la géothermie et qu’il est nécessaire de coordonner les actions sur les études de surface et la mobilisation des fonds. Pour M. Isidro, il convient de renforcer la coopération avec les partenaires pour un éventuel appui sur les énergies renouvelables pour permettre à l’Union des Comores de retrouver une stabilité énergétique afin d’amorcer son développement.

Au cours des entretiens, il a été annoncé l’arrivée d’une délégation qatarie et des experts new-zélandais pour une coordination des travaux, notamment les études de surface.

« Il y en a eu suffisamment d’études, il est temps d’entamer les travaux de forage », a déclaré le représentant du système des Nations Unies.

Pour le Président de la République qui est conscient de la situation et de la nécessité de trouver une solution qui permette aux Comoriens de passer le mois sacré de ramadan dans des conditions acceptables, a déclaré que si les études effectuées sont concluantes, il va falloir agir vite.

Pour conclure, le Chef de l’Etat a appelé au renforcement de la coordination entre le Commissariat Général au Plan, le Ministère en charge des Finances et la Direction de l’énergie, tout en insistant sur la nécessité de promulguer une loi qui rassurerait les partenaires.

Vœux du Chef de l’État à la Nation à l’occasion de l’avènement du mois de Ramadan


Le Président de la république a présenté ses voeux à la Nation à l’occasion de l’avènement du mois de Ramadan.


-   Comoriennes, Comoriens,
-   Mes chers compatriotes,

Alors que le mois sacré du Ramadan 2015 commence demain, à la suite de l’apparition du croissant lunaire, comme vient de le confirmer Son Éminence le Grand Mufti, je tiens à adresser aux comoriennes et comoriens, de l’intérieur du pays et de la diaspora, aux musulmans résidant en Union des Comores et à l’ensemble de la Umma Islamique, mes vœux de bonne santé, de prospérité, de paix, de concorde et de sérénité.

Je joins mes prières aux vôtres, pour qu’Allah Le-Tout-Puissant agrée notre jeûne et nous accorde l’énergie nécessaire à son accomplissement.

Je me réjouis du consensus qui, depuis quelques années, évite à notre pays, les débats stériles sur la date du début du jeûne. Je veillerai également, pour qu’il en soit ainsi pour la date de l’Aïd-El-Fitr.

Mes chers compatriotes,

Le mois du Ramadan est un moment unique de l’année, où chacun de nous s’applique davantage dans son rapprochement avec son Créateur et dans le respect rigoureux des préceptes de l’Islam.

Dans notre pays, la Loi sur les pratiques religieuses, que j’ai promulguée en janvier 2013, a eu comme objectif, le renforcement de l’unité du culte et des pratiques religieuses et la consolidation de l’Islam dans notre pays, en suivant les enseignements de l’Imam Chafii.

J’appelle les Ulémas et l’ensemble de la population, à faire consensus autour de cette Loi et à veiller à son stricte application.

Durant ce mois sacré, nous devons en plus de l’abstinence, bannir avec plus de rigueur, tous les interdits et notamment le mensonge, la calomnie et la discorde et veiller encore plus, au respect des mœurs, des us et des coutumes de l’Islam.

Le Ramadan est en effet, une période de prières, de piété, mais aussi de solidarité et d’entraide avec les plus démunis d’entre nous.

C’est au nom de cette solidarité que j’exhorte les marchands, les commerçants, les organisations patronales et les syndicats,à contribuer, chacun en ce qui le concerne, à l’amélioration des conditions de vie de la population et à faciliter le quotidiens de nos compatriotes, en particulier en évitant l’inflation artificielle,systématiquement pratiquée durant le mois de ramadan.

C’est également au nom de cette solidarité que je demande aux autorités nationales et insulaires, à la police, à la gendarmerie, aux préfets et aux maires, de faire respecter le caractère sacré du mois de ramadan, notamment sur la voie publique et de veiller à l’application des Lois et des règlements du commerce.

Qu’Allah Le Tout Puissant exhausse nos jeûnes et nos prières et nous accorde Sa miséricorde, Sa bénédiction et ses bienfaits.

Ramadan Moubarak à toutes et à tous.

Qu’Allah bénisse les Comores.

Je vous remercie

Le Ministre de l’intérieur a présidé la cérémonie de clôture du premier Congrès des Maires comoriens


Le Ministre de l’intérieur M. Houmed Msaidié a présidé la cérémonie de clôture du premier congrès des Maires des Comores au Palais de Dar-Najah, siège du Gouvernorat de Ndzouani ce mercredi 3 juin 2015 en présence du Vice-président en charge du Ministère des Finances, des membres du Gouvernement et du cabinet pezqidentiel, du Gouverneur de Ndzouani et des représentants de ses collègues de Ngazidja et de Mohéli, des représentants de l’UNICEF et de l’Union Européenne, des élus de l’île, de tous les maires et d’une forte assistance.

Durant les 24 heures, les maires ont réfléchi sur le fonctionnement de la commune et son financement. Les maires ont procédé à l’élection de leur bureau national composé de sept personnes dont nous vous donnons ci-dessous la composition.

La cérémonie de cet-après midi a été marquée par la signature des deux conventions sur
-  l’organisation pour la santé et le développement (OSD) avec la Direction Générale de la Protection Civile pour la mise en place des services locaux de protection civile.
-  le renforcement des capacités des ressources humaines et des capacités matérielles pour la résilience communautaire.

Lors de cette cérémonie, un chèque de près de 49 millions des francs collectés par le projet Riyal, a été officiellement remis à l’UNICEF et va servir à l’amélioration de la santé des enfants anjouanais. Trois allocutions ont été prononcées pour l’occasion, d’abord par le nouveau Président de l’Association des Maires comoriens, M. Mohamed Daoud qui a adressé ses sincères remerciements au Président de la République et à son Gouvernent pour le parachèvement des institutions, au Gouverneur de l’île et ses commissaires pour avoir accueilli le premier congrès et à ses collègues maires, pour la confiance qu’ils ont placée en lui en le désignant à ce poste.

« Nous comptons travailler en conformité avec la Constitution et en parfaite collaboration avec le Ministère en charge des municipalités, tout en attendant le transfert des compétences », a déclaré le nouveau Président.

Le Gouverneur de Ndzouani, M. Anisi Chamssidine a pour sa part, expliqué que la date d’aujourd’hui est mémorable pour lui et pour tous les anjouanais qui sont honorés en accueillant ce premier congrès et surtout par la présence du Président de la République et des partenaires au développement. « la tenue de ce congrès à Anjouan confirme le retour effectif d’Anjouan dans la République et celui de ses enfants dans la grande famille.

Il a rendu un vibrant hommage au Président de la République pour avoir su maintenir un climat politique apaisé et pour la franche et sincère collaboration qu’il entretient avec les exécutifs des îles, au Ministre de l’intérieur pour avoir initié et tout mis en œuvre pour la tenue de ce congrès à Anjouan.

Le Gouverneur a remercié l’EDA pour avoir su maintenir la permanence du courant et sans interruption durant toute la période du congrès. « C’est un signe qu’elle peut faire mieux », a-t-il ajouté.

Le Ministre de l’intérieur a enfin remercié le Président de la République pour avoir parachevé l’architecture du Nouvel Ensemble Comorien et pour sa participation au Congrès, au Gouverneur pour l’avoir accueilli et au Ministère de l’intérieur pour l’avoir initié.

Il a remercié enfin les partenaires pour leur soutien multiforme et permanent qu’ils continuent d’apporter à l’Union des Comores. « Avec la tenue de ce Congrès, le pays vient d’ouvrir une nouvelle page et nous ne pouvons que nous en réjouir », a déclaré le Ministre Msaidié. Le Ministre a regretté aussi que certains conseils communaux ne soient pas encore mis sur pied en promettant de tout mettre en œuvre pour y parvenir.

Il a demandé qu’une attention particulière soit accordée au foncier et à la délimitation des communes pour favoriser la paix civile.

Avant de déclarer le congrès officiellement clos, le Ministre de l’intérieur a déclaré que désormais, les maires porteront les couleurs nationales et qu’il va demander aux préfets de travailler en parfaitement collaboration avec les maires.
bureau national de l’Association Nationale des Maires Comoriens :

-  Président :    M. Mohamed Daoud KIKI
-  1er Vice-président : M. Amirdine Mohamed
-  2ème Vice-président :M. Abdoul Mouhaimine Abdallah
-  Secrétaire Général : M. Abdallah Abdou
-  Trésorier :    M. Bacar Hamada
-  Contrôleur : M. Daouidar Aboubacar
-  Chargée de Communication Mme Soilha Saïd Mdahoma

Sambi défie les autorités nationales : Tant pis pour Iki et la République


Ce mercredi 17 juin, est une journée noire pour les autorités comoriennes. Celui qui, dans un langage codé a défié Ikililou et les siens continue son chemin d'imposer sa dictature au lieu d'épouser un profil bas, par rapport au mal qu'il a fait à ce pays comme son prédécesseur et son poulain, devenu aujourd'hui son ennemi numéro un. Pourquoi Sambi doit continuer à cracher sur ce pays qu'il s'est servi pour s'enrichir avec tout ce qu'on a pu voir dans un climat de défiance ?
ce ne sont pas les dossiers qui manquent pour interpeller Sambi, et dévoiler son propre visage derrière cette image d'Imam, et d'homme intègre, alors qu'au fond c'est le destructeur de nos rêves et tout se vérifie à partir des différentes affaires qui le poursuivent.

Les comoriens présents à Moroni aujourd'hui, auraient souhaité que Sambi s'explique sur ces dossiers noirs qui ont noirci son quinquennat. Malheureusement ce n'est pas le cas car le voici aujourd'hui, entouré de ses fidèles pour cacher la vérité. Mais avant tout quand il est rassuré qu'il est entrain de faire un doigt d'honneur à un gouvernement faible, normal qu'il pavane ses muscles dans la rue. Sambi a de comptes à rendre aux comoriens sur l'argent du projet habitat qu'il a géré comme si c'était son propre argent. Avec l'ancien président de l'Assemblée Bourhane Hamidou, ont mangé plus de 2 milliards de francs comoriens sans laisser aucune trace. Et, pendant que les comoriens s'interrogent sur l'utilisation de cette manne financière, Sambi ridiculise tout le monde aux côtés de ses lieutenants. on a évoqué le scandale financier provoqué par les bateaux battant pavillons comoriens, dont vous avez tous lu les réponses évasives de l'ancien ministre des finances Mohamed Bacar Dossar, aujourd'hui, élu député à Anjouan, qui a cherché à s'exprimer sur cette mascarade alors qu'il était l'instigateur en sa qualité de ministre des finances. Avec El Fahim, ont utilisé l'Etat comorien à travers ces bateaux dont rappelez vous deux, ont été interpellés en Italie et en Egypte avec à bord de la drogue et des armes. Où est-il passé les milliards de francs comoriens qu'ils ont ramassés à travers ce trafic ? Seuls Sambi et Dossar peuvent nous fournir des explications, même si l'on sait qu'aujourd'hui, avec cet argent Dossar s'est fait élire député pour bénéficier d'une immunité pendant 5 ans. Mais nos vaillants députés peuvent voter la levée de son immunité pour être écouté.

Il y a encore l'argent de la citoyenneté économique estimé à plusieurs milliards de francs comoriens détournés par Sambi et son premier entourage, à l'exception de celui ou ceux qui continuent à vouloir soigner leur image tout en restant aux côtés de Sambi timidement par principe, mais ne partagent pas l'impunité à l'égard des malfaiteurs. Ces passeports comoriens vendus avec l'aval de Sambi à des terroristes, notamment ceux de Daesh dont certains gardes du corps de leur chef Aboubakar Al Baghdâd en posséderaient selon une enquête en cours. Tout ceci reflète l'image d'un Etat faible et d'un gouvernement impuissant qui laisse cet homme et ses complices polluer notre pays avec des phrases assassines. Normal quand on sait que parmi les autorités nationales d'aujourd'hui, certains ont goûté cet argent et on fait pression pour que ces affaires dorment dans les tiroirs des officiers de la police judiciaire.

Il est clair que ces comoriens qui, aujourd'hui ont envahi les rues non pour exprimer leur soutien à Sambi, mais pour exprimer leur désarroi face à la vie chère et aux arriérés de salaires qu'Ikililou entretient sciemment, vont se réveiller et ça sera trop tard. On y croit à une révolution citoyenne et aucune force n'arrêtera cette démarche.

Visiblement, Sambi se trompe comme il l'a toujours été car il croit détenir le monopole de la maîtrise de ses enfants de cœur qu'il choisit par rapport à leur nullité, et c'est l'erreur qu'il a commise en choisissant Ikililou alors qu'à Mohéli existe des personnes qui maitrisent parfaitement la machine de l'Etat, mais pour Sambi, il faut imposer aux comoriens des amateurs. Tout le monde sait dans son entourage, que sa candidature en 2016, est compromise, et le voilà nous imposer le caporal Bourhane Hamidou, ancien président de l'Assemblée nationale, dont on connait ses limites.

Mohamed Ilham

Sambi et ses alliés interdits de meeting sur les jardins du prince Kemal


Ici à Moroni tous les ingrédients d'une révolution se sentent dans les coins de la capitale. Les habitants sont écœurés de voir les mêmes se bousculer pour atteindre le sommet. La folie de Sambi avec cette détermination de Mamadou de vouloir briguer la magistrature suprême, c'est du mépris envers les comoriens. La détermination du prince Kemal Said Ibrahim de refuser d'abriter le meeting de la coalition Juwa, Pec, Ridja, Cadim, Zamzam, qui devrait se tenir aujourd'hui à Moroni dans les jardins privés de Kemal, suscite de commentaires. Le prince Kemal a annoncé officielement que jamais au grand jamais, Sambi et ses alliés ne mettront pas leurs pieds dans son domicile. Kemal reprocherait Sambi de vouloir diviser le pays et de faire le lit du séparatisme ave sa volonté de voler aux wangazidja leur tournante.

A suivre !


Un décret qui pourrait priver Ahmed Abdallah SAMBI de son droit à un passeport diplomatique ?



Alors que 2016 se pointe à l'horizon et que le Président AA SAMBI se déclare candidat aux prochaines présidentielles, l'ancien président vient de provoquer un incident diplomatique entre les Comores et Madagascar à tel point qu'une délégation du gouvernement comorien s'est rendu à Madagascar pour présenter des excuses.

Comme le montre cette photo, l'ancien président a rencontré le Président malgache en compagnie de faux investisseurs d'origine arabe. Une enquête minutieuse menée par les services de renseignement malgache a montré que ce sont des personnes non fréquentables.

Sur ce, le gouvernement comorien étudie un décret qui pourrait priver SAMBI de son droit à un passeport diplomatique.

Mohamed Chanfiou


Les secrets d'une tragédie « La nébuleuse Sambiste »



Chronique : « les Yeux dans les Yeux »
De
Monsieur Djaanfar Salim Allaoui
Ancien vice –Premier Ministre des Comores
Ancien Ministre de l'Intérieur de l'Ile Autonome d'Anjouan.
Secrétaire Général et porte-parole de GNEC Rénové.
Thème : les secrets d'une tragédie « La nébuleuse Sambiste »
On a bouclé la précédente chronique sur un portrait sommaire du personnage sambi, quoi de plus normal pour un ancien locataire de Beit- Salam prêt à tout donner pour refaire le match.

En effet, élu en 2006 dans des circonstances troubles, je m'avance sans état d'âme, sur le sujet et dire que jusque-là, j'ai toujours soutenu le contraire sur son élection.

Mais de forts indices profondément avérés m'obligent à revoir ma copie. Oui, je fais du rétropédalage sur la crédibilité et la sincérité de l'élection de Sambi de 2006. En s'obstinant à revenir au pouvoir à tout prix au mépris et en violation des lois et règlements dans la république et au risque et péril de la stabilité constitutionnelle de notre Pays, Sambi ne mérite ni égards ni respect.

Sur les trois acquis majeurs de l'accord fondateur de Fomboni sur la Réconciliation Nationale aux Comores à savoir la Présidence tournante, l'Autonomie pleine et entière des Iles comoriennes et l' Unité et la Solidarité du Nouvel Ensemble Comorien ; Sambi a fait volé en éclats l'Autonomie des Iles de Mwali, Ngazidja et de Ndzouani et aujourd'hui dans sa folle aventure, il veut se donner les moyens d'un come-back pour finir le job et faire sauter le dernier verrou de la Présidence tournante.

Le Nouvel Ensemble Comorien (N.E.C) en dépit de ses légers dysfonctionnements, nous aura épargné de la période noire de coups d'état aux Comores, NON et NON ... KARI TSO KIRI, on ne le laissera pas faire.

Sambi fait partie des grande tragédies des trajectoires comoriennes, certes d'autres avant lui trainent des drames en série plongeant dans les ténèbres notre pays. Seulement notre amnésie patent et notre égo nous interdisent lâchement de reconnaitre nos torts et nos erreurs et de chercher à corriger pour espérer conjurer le mal.

A titre personnel, je ne me suis jamais laissé tenter par les envolées doctrinales du prédicateur bien qu'issu de la même ile et de surcroit de la même la ville que lui. Je l'ai vu grandir avec ses ambitions essentiellement destinées à conquérir toutes formes de chefferie. En clair, c'est tout ce qui nous rapproche et je ne m'en plains pas.

Insidieusement, sans coup férir, il tissait lentement mais surement la toile dans laquelle il allait prendre au piège la population comorienne toutes couches confondues, les politiques en tête.

Il fut le premier à avoir su et osé utiliser à des fins politiques la religion d'où l'engouement contagieux des comoriens, musulmans en leur corps et âme. Les gens, en vérité, furent séduits et convaincus par le foundi plutôt que par le politique.

Les comoriens, en l'élisant peut- être, ont plutôt plébiscité un homme de Dieu, c'est en la religion, en la foi de Dieu que les comoriens ont remis leur destin. En aucun instant, ils n'avaient pensé que cet homme, ce foundi de Dieu oserait se servir de Dieu pour faire du mensonge un mode de Gouvernement servi par un culte de la personnalité de mauvais goût.Mais qui n'auraient pas été envouté par ses prêches enflammées à connotation politico-religieuse tellement elles inspiraient la pitié, le désespoir et l'amour du prochain. Il a su habilement adapter son discours en l'orientant sur le terroir de la misère et de la pauvreté.

Faut-il le rappeler, si besoin est, que les prêcheurs en puissance dans les foyers où ils prospèrent, ont toujours ciblé comme terrain de chasse le dénuement et la précarité ! Sachons lui reconnaitre ce mérite. Fasse Dieu que les Comores soit préservés d'un basculement vers les pays dits de l'axe du mal.

Pour illustrer mon propos et mieux appréhender le personnage controversé de Sambi, je vous livre un témoignage inédit et me propose de vous offrir un visite guidée sur les dessous et les non-dits de la crise Anjouanaise dont le but avoué de ma démarche est de restaurer la vérité afin de réparer les erreurs d'appréciation, je l'espère, sur les évènements douloureux que traverse la population comorienne prise dans un engrenage des plus éprouvants.

J'estime, en mon âme et conscience, qu'il est de mon devoir de politicien de lever le voile par ma modeste contribution aux drames politiques, social, économique et institutionnel qui ont frappé et qui frappent encore les comoriens.

En effet, la crise anjouanaise, d'ordre essentiellement électoral, commandait-elle un règlement militaire en lieu et place d'un règlement politique ? Anjouan, quoi que dans son plein droit, a subi injustement les foudres d'une volonté politique démesurée, empreinte d'un unilatéralisme et d'un mépris affichés.

Tout a été fait pour faire en sorte d'étouffer les textes en vigueur sans avoir pris le soin de les abolir au préalable. D'autant plus que le recours à la force contre Anjouan a fait plonger cette île de 300.000 habitants environ dans un enfer fait de misères jamais égalé aux Comores.

Tout le monde ou presque a fini par rallier aujourd'hui les positions d'Anjouan et s'accorde à se demander comment expliquer la démarche belliqueuse de Sambi contre Anjouan dont le but était de ménager les caprices du Raïs enturbanné sans aucun programme d'accompagnement et de suivi pour épargner Anjouan et le reste de l'archipel de sombrer dans le désordre.

En vérité, dans cette affaire floue, rien n' a été transparent et personnellement j'invite tout un chacun à s'éveiller aux réalités d'un marché de dupe aux allures de gros scandale dont seul Sambi détient le secret de cette énième tragédie et porte en même temps la responsabilité.

A suivre dans cette même chronique, « les secrets d'une tragédie »

Djaanfar Salim Allaoui

vendredi 12 juin 2015

"°OH QUELLE TRAHISON ET QUEL DÉSHONNEUR°TRAHI PAR SA PROPRE CONSCIENCE ET PAR SON CHIISME FARFELU L'HOMME AU TURBAN DE MENSONGES S'EST CRAMPONNE SUR SON MÉPRIS ET SUR SES ILLUSIONS ERRONÉES???"



 "LE MOLLAH CHIITE AVAIT TROMPE SES PLUS PROCHES COLLABORATEURS ET QUE DOMMAGE?"


       Quel dommage,pour ces hommes et pour ces femmes,qui avaient cru à ce fondamentaliste chiite,qui ne chercherait que de gagner des points et des adeptes dans cette pensée chiite,qui n'a d'autres objectifs,que de nuire certains pays arabes,africains,dont le sunnisme est la base fondamentale?Une fois,j'avais discuté avec Fundi Ali Hadji,aujourd'hui,député du parti Radhi,sur les agissements du Mollah chiite comorien?Selon,lui,je cite"cet homme au turban de toutes les couleurs est bel et bien un imposteur et un illuminé"Ce qui est sûr et certain,entre le fundi et le Mollah chiite,j'avais senti des contradictions sur les fondements réels de la pensée islamique et sur les pratiques religieuses"la sunna"Mais,ma réflexion,d'aujourd'hui,ne porte pas sur ce qu'ils pensent entre eux,les religieux,mais,sur leurs mensonges et sur leurs comportements très éloignés de l'islam?Nous avions bien vu des choses que nous n'avions pas l'habitude de voir?Un religieux chiite,qui est devenu président de la République des Comores avec au tant de crimes financiers et humains?Il y a là,à se poser la vraie question,celle de vouloir savoir,réellement,quelles sont les motivations de cet homme,qui s'est fait trahi de lui-même,c'est à dire,par sa propre conscience et par son chiisme religieux,farfelu et révolu?Plus grave et plus dangereux,il avait,également,réussi à tromper ses troupes,ses plus proches amis,collaborateurs et que c'est dommage pour eux et pour nous,car,tous ces crimes commis à ciel ouvert dans notre pays,sont seuls les comoriens,qui paient toutes les lourdes tribus et les plus graves conséquences?Il est devenu très difficile de raisonner comorien,aujourd'hui,par le fait que tous ces hommes et toutes ces femmes malades avaient bien réussi à officialiser et à institutionnaliser le séparatisme des îles,au profit de leurs petits intérêts personnels et claniques?Qu'est-ce que nous voyons encore,que nous n'avions pas l'habitude de voir dans ce pays?Après avoir tourné en rond en suivant les exigences de notre constitution avec l'échec de réintégrer Mayotte dans le processus?Cet homme au turban de mensonge essaie de vouloir tenter de modifier les données parce que coûte que coûte,il veut y retourner dans les affaires de ce pays sous prétextes,qu'il veut terminer ce qu'il avait bien commencé?Oui,qu'est-ce qu'il avait entretenu durant ses cinq ans de mandat présidentiel tourmenté et mouillé de sang et de crimes?Nous avions vu des hommes et des femmes tombés par des balles,d'autres assassinés sous l'ombre de la trahison pour ainsi parvenir à faire de notre pays,d'un territoire de non droit et de non justice,où l'on peut enterrer des hommes et des femmes innocents et des victimes sous des faux noms et sous fausses identités,quelle stupidité et quel déshonneur pour un pays libre et souverain?
        Aujourd'hui,même,la communauté internationale vient de réagir sur toutes les ambitions de ce Mollah farfelu,notamment,l'union-africaine,les nations-unies?Et c'était son meilleur ami,ancien ministre des affaires étrangères,qui venait de prendre la parole pour accuser toute la communauté internationale d'ingérence et de favoritisme au profit du gouvernement comorien?Quant-on voit un ministre des affaires étrangères rendre public sa déclaration de bonne foi,celle de rendre son passeport diplomatique?C'était de justifier quoi par rapport à quoi?Il avait complètement oublié que ces passeports,une fois,que les concernés rentrent au pays,ils doivent les rendre au ministère des affaires étrangères pour des raisons administratives et juridiques connues?Donc,trompé par leur champion chiite,qui ne peut pas,aujourd'hui,se tenir correct et responsable,en sa qualité d'ancien président?Tous ces petits Messieurs habitués à l'argent facile et à la facilité,sont obligés de crier pour rien,faire de bruits pour rien et des bottes sales pour rien?Je ne'ai rien contre le Mollah chiite,comme,tant d'autres,d'ailleurs?Mais,mon objectif principal,c'est de les faire comprendre que ce pays nous appartient tous et il n'y a pas lieu à vouloir se l'approprier comme étant un indu?Il est vrai que dans cette histoire très banale,il n'y a pas qu'un seul malade,fou amnésique et schizophrène?Sur l'île autonome de Ngazidja,nous en avions tellement beaucoup,même,des malades mentales et des handicapés physiques,qui chercheraient toujours à sa faire valoir?Il y ait,aussi,des anciens directeurs de douane et d'autres sociétés d'Etat,qui se prennent pour des héros et pour des champions?Alors,que nous avions vu de quoi,ils sont capables de faire pour devenir très riches et très remarqués par leurs richesses mal acquises?Sur l'île autonome de Ndzuwani,c'est au tant,nous avions des faux colonels fil de fer,des faux hommes politiques,perdus,eux,également,dans des interprétations institutionnelles et autres,parce qu'il fallait arriver à diviser le pays pour mieux régner?Donc,méfions-nous de tous ces zozos et de tous ces zinzins,qui circulent avec leurs illusions et leurs rêves sans fondements réels et objectifs?Le Mollah chiite,aujourd'hui,perdu dans l'errance n'a d'autres choix,que d'entraîner une partie des citoyens comoriens dans ses délires et dans ses envies dépassées et révolues?Ce n'est pas parce qu'il avait réussi à vendre des tonnes et des tonnes de passeports à des apatrides et à des inconnus?Qu'il se dise à tort ou à raison,de bien vouloir revenir terminer son job?Ce n'est pas parce que des hommes et des femmes ont été assassinés et enterrés sans identités et sans noms,qu'il va vouloir y revenir terminer son métier?
       Il était temps à la raison et à la résistance collective face à tous ces voyous financiers,qui se sont enrichis à travers leurs responsabilités étatiques et dans l'exercice du pouvoir?Nous devrions soutenir toutes les reformes à tous les niveaux de notre société pour qu'un jour,nous pouvions espérer voir tous ces hommes et toutes ces femmes devant la justice comorienne pour y répondre de leurs actes criminels?Merci pour toutes ces minorités,très averties,qui n'acceptent pas à se laisser intimider ou tenter de ce que nous sommes entrains de faire?Aujourd'hui,nous sommes tous devenus les vrais porte-paroles de ce peuple sans voix,sans aucune défense,de ce peuple,souvent,marginalisé et heureusement,que Dieu nous a donnés cette force et ce courage d'être là et de suivre tout ce qui se passe dans notre pays et dans le reste du monde?Il est vrai que ce n'est pas si simple et si facile de tout dire et encore très loin des Comores?C'est par là,que je tiens à remercier encore tous nos amis,tous nos camarades sur place au pays de leur travail et de leur courage à faire face à ce monde comorien pourri et malsain mis sur place par l'exercice du pouvoir corrompu et par le choix de la gouvernance?Certes,nous sommes installés dans les rouages de l'immigration économique?Mais,nos cœurs sont avec vous et nous partageons toutes vos souffrances et toutes vos douleurs?Je n'ai rien à cirer et je n'ai rien à cacher dans cet élan de liberté et de démocratie,car,me taire,c'est prendre une place de choix dans cette politique dévastatrice et criminelle,dite de la tournante tourmentée?Nous avions tous d'une grande responsabilité à faire avancer les choses et il est un devoir moral et national pour tout comorien à s'engager et à donner tous les meilleurs de lui-même?Nous nous approchons les prochaines échéances électorales présidentielles de 2016?Nous voyons,comment,des hommes et des femmes se sont tellement excités et affolés?D'autres chercheraient à se positionner ou à se caser par des calculs et par des fausses visions nocturnes?La politique est devenue le symbole de la mendicité et de la corruption généralisée,même,au plus haut sommet de l'Etat comorien?Nous sommes devenus aussi les derniers de la scène politique africaine et loin de voir une vraie stabilité politique ou économique par nos envies et par nos choix mal définis et mal orientés?Nous tournons en rond comme la girouette et la pirouette parce que nous n'avions pas établi la meilleure synthèse de notre propre liberté et de notre propre indépendance?D'où cette perpétuelle crise institutionnelle,qui nous divise et qui nous met en dehors de nos objectifs et de nos buts essentiels?Et par là,c'est toute la nation comorienne,qui est menacée de disparaître et de disloquer à jamais?Avançons avec lucidité nous gagnerons notre pari?

Bakari Msaidié Haninga.

mardi 9 juin 2015

L’AFFAIRE SAMBI CONTINUE A FAIRE FACE LA VERITE NE PEUT PLUS SE CAHE DERIERE DES MENSONGES



L’AFFAIRE SAMBI CONTINUE A FAIRE FACE LA VERITE NE PEUT PLUS SE CAHE DERIERE DES MENSONGES
Chers amis, l’affaire concernant l’expulsion de Sambi vers les Comores se confirme petit à petit, des rumeurs courent que depuis la bas il a été retiré son passeport diplomatique et il a pu voyager avec un sauf conduit.
Il aurait souhaité se rendre à Madagascar, mais les autorités ont refusé sa demande, à l’heure actuelle il a du prendre un visa pour s’y rendre à Nairobi pour attendre son son vol vers les Comores.
Suite à des enquêtes concertants le financement des djihadistes Iraniens vers le Yémen, un contrôle de versement des sommes venants de l’Iran, les autorités de Dubaï, seraient tombés sur les comptes de Sambi et les saisir, une derniers versement provenant du même pays.
À FAIRE A SUIVRE………
VIVE LES COMORES


L’AFFAIRE SAMBI CONTINUE A FAIRE FACE LA VERITE NE PEUT PLUS SE CAHE DERIERE DES MENSONGES
juin 09
Publié par chamssidine
L’AFFAIRE SAMBI CONTINUE A FAIRE FACE LA VERITE NE PEUT PLUS SE CAHE DERIERE DES MENSONGES
Chers amis, l’affaire concernant l’expulsion de Sambi vers les Comores se confirme petit à petit, des rumeurs courent que depuis la bas il a été retiré son passeport diplomatique et il a pu voyager avec un sauf conduit.
Il aurait souhaité se rendre à Madagascar, mais les autorités ont refusé sa demande, à l’heure actuelle il a du prendre un visa pour s’y rendre à Nairobi pour attendre son son vol vers les Comores.
Suite à des enquêtes concertants le financement des djihadistes Iraniens vers le Yémen, un contrôle de versement des sommes venants de l’Iran, les autorités de Dubaï, seraient tombés sur les comptes de Sambi et les saisir, une derniers versement provenant du même pays.
À FAIRE A SUIVRE………
VIVE LES COMORES
ENSEMBLE OSONS LE VRAI CHANGEMENT DE NOTRE PAYS
Monsieur chamssidine maanfou

40 MILLIONS DE DOLLARS DANS LE COMPTES DE SAMBI BLOQUES A DUBAI EXPULSE DE DUBAI


Chers amis,
quand on jure devant Dieu et promettre à toute une population et les promettre des choses en disant je cite si vous me donnez votre confiance je vous jure que que je vous détruirai les maisons en pailles et les maisons en taules et les remplacées par des maisons en dures, si je ne tiens pas mes engagement je vous donnerais raison de demander justice devant dieu et vous pouviez demandez à Dieu de me maudire. Fin de citation
ainsi justice ce fait et la malédiction est entrain de tomber sur la tête de Sambi.
Suite à des opérations malles saines, Sambi était dans une grosse opération financière à Dubaï non justifiées.
Après contrôle, il se trouve que dans ses comptes, apparaissaient une somme de 40 millions de dollars non justifié, et les autorités de Dubaï ont saisi ses comptes et ont fait un rapport au autorités comoriennes.
Expulser de Dubaï, son nouveau ami maître Fahmi qui a voulu intervenir et courir à son secoure, il a voulu le faire rentrer en France au lieu de se rendre aux Comores.
Par ordre des autorités comoriennes, Fahmi a été interpellé par l’embrassade des Comores à Paris pour restituer son passeport diplomatique.
Il a rejoint son ami à Sambi à Dubaï par son passeport français pour la destination des Comores entre le 14 et le 17 juin comme l’a affirmé Mahamoud Mohamed el enrif dans une vidéo.
Dans cette vidéo, Mahamoud Mohamed El enrif à menacer le gouvernement comorienne en l’avertissant que ils se battront s’il le faut.
De l’autre coté, m’saidié, a affirmé qu’il fera son travail si des éléments comoriennes décideront à semer le trouble dans le pays.
Qui fera le premier pas entre SAMBI et m’saidié? Rappelez-vous de ce titre de mon article chers amis. À mon tour de vous posez cette question; Qui est le menteur?
Sambi n’a pas dit son dernier mot, un homme dangereux qui est prêt à faire couler le sang des comoriens pour ses fins personnels LE POUVOIR DE TOUT CONTRÔLER.
VIVE LES COMORES
ENSEMBLE OSONS LE VRAI CHANGEMENT DE NOTRE PAYS

UNE IDÉE REÇUE » EST UNE VRAIE PATHOLOGIE DONC UNE MALADIE


Alors comprenez chers comoriennes et comoriens qu’en psychologie, « UNE IDÉE REÇUE » est une vraie pathologie qui s’ installe dans la tête d’une personne ou d’un ensemble de personnes pour les bloquer et les rendre incapables de réfléchir ou tout simplement de voir la vérité souvent sous leurs yeux.
Avant de se hasarder dans des sujets politiques, les comoriens devraient se donner le temps et les moyens de vérifier par eux mêmes s’ils ne sont pas atteints de la maladie d’idées reçues qui les rend incapables d’être libre dans leurs opinions.
Une personne atteinte de la maladie des idées reçues pensent tellement avoir raison dans ce qu’on lui a inculqué dans la tête qu’elle devient prête à se battre pour prouver qu’elle a raison.
Au bout du compte, les fidèles les plus assidus de Sambi se trouvent aujourd’hui les fesses par terre, obligés de trouver très rapidement d’autres alternatives pour survivre avant que leur situation financière ne se dégénère en situation alarmante.
En effet, la plus grosse des trahison que Sambi a fait à ses amis, c’est de les avoir utilisés comme des outils pour s’ enrichir personnellement sans rien prévoir comme partage du gâteau par la suite.
Aujourd’hui et pendant des années et des années, Sambi mangera seul le gros gâteau qu’il a pu obtenir grâce aux autres.
Les plus intelligents commencent à comprendre et les plus naïfs continuent et continueront toujours à sacrifier leur vie pour quelqu’un comme Sambi qui ne connaît et ne reconnaît que sa personne .
Avec les millions d’euros et de dollars que Sambi a volés, il pourrait s’ il était homme de bonne fréquentation, créer des structures assez importantes dans le pays et embaucher ses amis pour ainsi leur faire profiter un peu le butin des vols et des détournements massifs qu’ils n’ont eu de cesse de perpétrer depuis 2006 jusqu’en fin 2011.
Aujourd’hui, Sambi garde seul le magot et demande aux gens que si vous voulez avoir encore quelques miettes il faut que je retourne au pouvoir sinon je vous je bous laisserai crever sous toutes les rancœurs des gens que je vous avais conduit à les maltraiter et humilier hier.
Sambi à négocié la nationalité Française pour lui et ses proches et placé le magot détourné avec la complicité des autres en pays étrangers pour vivre tranquille avec ses proches en abandonnant ses compagnons en pâture.
selon beaucoup d’experts, Sambi est le président qui a volé tout seul plus de 3fois ce que tous les autres présidents ont volé si on les réunissait. .. Il faut savoir que SAMBI a carrément ruiné et vendu tout ce qui était vendable du pays. Il est, semble t-il au moins 5 fois plus riche que l’état comorien qu’il a asséché.
Ne pourrait-il pas sauver ses compagnons de braquage de la précarité qui va les engloutir bientôt.
VIVE LES COMORES ET VIVE ANJOUAN
ENSEMBLE OSON LE VRAI CHANGEMENT DE NOTRE PAYS
Monsieur chamssidine maanfou

APRES L’ÉCHEC LE PLAN B ET LE PLAN B1 MAHAMOUDD MOHAMED EL ARIF VONT DE DCLANCHER LE PLAN B2 ENTRE LE 14 ET LE 17 JUIN


LE PLAN B DE SAMBI QUAND IL VERRA SA CANDIDATURE REJETE
L’étau se ressert de plus en plus contre Sambi et ses partisans, en effet entre Sambi et m’saidié la situation devient très tendue à tel point que Sambi n’ose plus retourner aux Comores peur de se voir confisquer son passeport diplomatique.
Avant hier, il a même décidé de renoncer son voyage pour les Comores et il a préféré se rendre à Madagascar, puis Iran pour atterrir ce soir à Dubaï.
Pourtant une solution aurait pu être trouvé pour trouver un terrain d’attente sur la question de la candidature de Sambi de 2016.
Selon le plan B présenté par le président du Partir Juwa et le secrétaire Ibrahim Mohamed soulé alias PAPA était de préparer un membre du parti pour être candidat à la place de Sambi; une proposition sage mais qui a crée une malaise au sein du parti, une refus qualifiée de manque de respect pour Sambi.
Le plan B1 Sambi veut récupérer tous ou presque les leader des partis politique de la grande Comore tout en se proposant candidat aux élections et à la dernière minuties quand sa candidature se verra refusé, se présentera vice président et soutenir Ali Nassor et Ali bourhane pour en faire des marionnettes si un des deux est élu.
Le plan B2 en cas d’échec du plan B et le plan B1 rentre en vigueur, un déclenchement d’une guerre civile pour espérer récupérer l’île d’Anjouan et régner à vis.
Cet homme est déterminé à avoir le pouvoir peut importe les conséquences quitte à faire couler le sang de tout un peuple.
Voilà une réponse pour ceux qui se demandent pourquoi les Comores ont peur de Sambi.
Donc comprenez que les comoriens n’ont pas peur que Sambi si il se présente il gagnera les élections mais plutôt que cet homme est trop dangereux pour les Comores et plus particulièrement les comoriens.
En conclusion le seul moyen de stopper cette hémorragie est d’arrêter Sambi et maîtriser ses partisans et annuler le parti Juwa.
Drôle de manière d’aimer son pays.
VIVE LES COMORES
ENSEMBLE OSONS LE VRAI CHANGEMENT DE NOTRE PAYS
Monsieur chamssidine maanfou


L’ALLIANCE DE L’OPPOSITION QUI A JURE DE MENTIR AUX PEUPLE DES COMORES A L’ETERNITE JUWA, CADIM, PEC, RIDJA, ET ZAMZAM



L’ALLIANCE DE L’OPPOSITION QUI A JURE DE MENTIR AUX PEUPLE DES COMORES A L’ETERNITE
JUWA, CADIM, PEC, RIDJA, ET ZAMZAM
L’alliance des partis d’Opposition Juwa, Cadim, Pec, Ridja, et Zamzam) est bien fort vivante, très active dans la volonté commune de mentir aux comoriennes et comoriens et plus en particulier la population de la grande Comores, avec seul but aider à celui qui a ruiné le pays pouvoir s’enrichir encore plus mais cette fois ci avec eux.
Tous ont été d’accord et sans exception de renoncer à leur candidature pour les élections de 2016 à vouloir briguer la magistrature suprême de notre pays.
Suite au refus de commissaire à la paix et la sécurité de l’union africaine d’interdire Sambi de se porter candidat, maître Fahmi said Ibrahim, maître Larif, et Idi nidhoim songe déjà revenir à ceux qu’ils ont déclarer publiquement le 26 mai à paris et avoir annoncer la candidature unique de Sambi. Un premier poignard derrière le dos du parti Juwa lancer par monsieur Achraf.
Quel déshonneur vis à vis de ces hommes qui changent comme une girouette? Ils sont irresponsables capable de ventre notre pays moyennant quelques dirhams, capable même de faire couler le sang de notre peuple.
Nous mettons en garde le commissaire à la paix et à la sécurité de l union africaine qui a mis fin à la campagne de l’ex-rais Sambi à vouloir se présenté aux élections présidentielles de 2016 aux Comores.
Nous sommes reconnaissant de cette bonne initiative de bon sens car cela va peut être préserver la paix dans notre pays.
Rappeler vous commissaire de la paix de ce que Sambi à dit dans son discours nous citons: quoi qu’il arrive je serais candidat en 2016 celui qui voudra voter pour moi le fera et celui qui ne voudra pas reste son libre choix, mais la détermination à aller candidat en 2016 est la même détermination que quand j’ai voulu débarquer à Anjouan, connaissant l’homme, il n’a pas dit son dernier mot.
Alors vigilance et attention car il sait très bien que c’est chose impossible d’ être candidat en 2016, donc il serait prêt à prendre les armes pour mettre le pays en sang.
VIVE LES COMORES ET VIVE ANJOUAN
ENSEMBLE OSONS LE VRAI CHANGEMENT DE NOTRE PAYS
Monsieur chamssidine maanfou



UNE ESPOIR PERDU SAMBI DOIT TOURNER SANS TOUCHER A LA TOURNANTE ET LES LES FRUITS ACCORDS DE FOMBONI



UN ESPOIR PERDU SAMBI DOIT TOURNER SANS TOUCHER A LA TOURNANTE ET LES LES FRUITS ACCORDS DE FOMBONI
Les partisans de Sambi vont être déçu et les comoriens de bons sens vont pouvoir bien dormir car tous les dangers d’une guerre civile ou un soulèvement du peule seront écartés.
Je vous toujours informé mes chers amis et ceux qui crient victoire les pattes dans la merde me traitent toujours de menteur.
L’homme que vous prétendez vous mentir va encore vous informer que fini les blabla et les mensonges.
Les comoriens n’ont pas besoin de vivre dans des faux rêves ce qu’ils veulent une personne qui a un bon sens mais pas un assoiffé de pouvoir au prix de verser le sang comorien après avoir mit à l’abri les siens.
Chers comoriennes et comoriens, nous vous infélections présidentielles de 2016 ou non?
Nous venons d’être informer de la réponse serait que l’union africaine s’oppose à cette candidature avec fermeté, donc Sambi et son rêve de se présenter aux élections 2016 est brisé.
le folklore doit prendre fin car dans aucune tournante au monde on a vue ce cinéma qu’aux Comores.
La question que nous devrions nous posé maintenant comment vont réagir ceux qui ont voulu trahir leurs frères et sœurs de la grande Comores? Nous voulons parler ici de maître Fahmi Saïd Ibrahim, maître el Anrif et monsieur Idi nidhoim. Le seul homme intelligent dans cette bande était monsieur Achraf même si sa parole ne valait rien au sein des engagement qu’il avait pris dans nos cercles.
Le coq est le seul animal qui chante victoire même si il est dans la merde
VIVE LES COMORES
ENSEMBLE OSONS LE VRAI CHANGEMENT DE NOTRE PAYS
 de source certain et très rapidement l’union africaine va publier son verdicts au sujet de la candidature de Sambi si il doit se présenter aux  élections de 2016, et selon des sources certaines, il n'est admis nul part sur la constitution comorienne que la candidature de Sambi pourrait être valide.







UN AUTRE DIVORCE EST PRONONCE ENTRE SAMBI ET MONSIEUR ACHIRAFI.



UN AUTRE DIVORCE EST PRONONCE ENTRE SAMBI ET MONSIEUR ACHIRAFI
Nous avons tous assisté au meeting de Paris avec l’équipe Fahmi Saïd Ibrahim, Ahmed Djaffar, maître Larif Idi nidhoim et monsieur Acharaf.
Parmi les 5 ont peut déjà soustraire un; monsieur Acharaf a déjà divorcé avec Sambi le mariage dite moutan est déjà consommé et le divorce officiellement sera prononcé le 3 à Paris.
Chers comoriennes et comoriens, peut ont rester toujours aveugles? Aucune personne ne peut faire un bout de chemin avec ce Sambi ni le parti Juwa pourquoi? Est ce que une malédiction qui se bat sur Sambi ou un signe de Dieu de tous les comoriens pour nous dire de s’éloigner de cet individu? L’avenir nous le dira inchallah.
Nous allons assisté bientôt le reste des divorce entre les 4 membres restants ainsi le mollah se justifiera qu’il ne le savait pas comme c’est toujours son habitude, il n’est jamais fautif.
A faire à suivre………..
VIVE LES COMORES
ENSEMBLE OSONS LE VRAI CHANGEMENT DE NOTRE PAYS
Monsieur chamssidine maanfou

NOUS RENDONS COUPABLE L’ASSOCIATION MUTSAMUDUENNE DE TOUTE LA FRANCE DE NOUS AVOIR TROMPE ET GASPILLER NOTRE ARGENT. nous revenons au sujet de la place de Missiri dérober par la famille Sambi.



NOUS RENDONS COUPABLE L’ASSOCIATION MUTSAMUDUENNE DE TOUTE LA FRANCE DE NOUS AVOIR TROMPE ET GASPILLER NOTRE ARGENT.
nous revenons au sujet de la place de Missiri dérober par la famille Sambi.
Chers amis, nous avons le droit de demander aux responsables et membres du bureau de l’association de tous les mutsamudiennes et mutsamudiens de France de nous dire la vérité concernant tout l’argent des cotisants et l’argent encaissé lors des différentes soirées pour emménagement d’un jardin d’enfant, une bibliothèque et un local pour les associations des femmes de mutsamudu pour leur répétitions folkloriques dans une partie de la place de Missiri.
Des travaux ont été financés par nous; des mutsamudiennes et mutsamudiens se sont déplacés de ville en ville plus ou moins proches ou lointaines pour y participer à des journées dans le but de financer ces projets.
Les travaux sont arrêtes en plein milieu par ce que monsieur Sambi s’est approprié de la ce terrain pour en faire le magasin de sa femme et construire un bâtiment pour son station télévision ULEZI.
A notre connaissance dans le compte de cette association est créditeur d’un montant équivalent de 2500 euros, nous demandons aux responsables de nous dire qu’est ce qu’ils comptent faire de cette somme? Comment comptent-ils récupérer les dépenses effectués pour les travaux non achevés avant que Sambi récupère ce terrain?
Nous savons peut être tous que le terrain de Missiri est une donation de al marhoum feu Mohamed Ahmed que la paix soit avec lui, pour la jeunesse de Mutsamudu, donc il n’est pas la propriété de personne et ne peut pas être donné ni vendu.
Nous demandons sa restitution immédiate sans condition, et dans le cas contraire nous seront obligés de porter l’affaire en justice depuis la France contre l’association responsable.
VIVE LES COMORES ET VIVE ANJOUAN
ENSEMBLE OSONS LE VRAI CHANGEMENT DE NOTRE PAYS
Monsieur chamssidine maanfou

Chacun 200 000 francs comoriens pour ne pas diffuser ou transmettre la partie relative au dossier Boule Mining.


Chacun 200 000 francs comoriens pour ne pas diffuser ou transmettre la partie relative au dossier Boule Mining.On disait que seuls les murs de Beit-Salam ont des oreilles, or, aujourd'hui, on apprend que ceux de la vice-présidence en charge des finances en possèdent aussi. Selon ces murs salis par l'odeur nauséabonde des affaires qui pourrissent le vice-président en charge des finances, '' Boule Mining, Handouli, Lafarge, etc. les journalistes présents à la conférence de presse tenue par le vice-président en charge de la santé, Dr Fouad Mohadji, seraient payés chacun 200 000 francs comoriens pour ne pas diffuser ou transmettre la partie relative au dossier Boule Mining. Pendant que l'Etat peine à honorer les honoraires du cabinet qui défend la partie comorienne dans cette affaire, Mamadou se sert du peu qui reste pour corrompre les journalistes. Normal et c'est humain quand ces journalistes bénévoles lui tendent la main, mais ceux qui payés avec l'argent du contribuable comorien ont-ils le droit de faire autant ? Non. En tout cas, ce n'est pas la censure qui va arrêter la révolution et le président Ikililou doit se réveiller de son long sommeil pour éviter l'irréparable.

A suivre...

Inoussa Ahmed Mohamed

Passeports de la nationalité économique:

 Passeports de la nationalité économique: Un Conseiller à l’Ambassade de l’Union des Comores en Arabie Saoudite relevé de ses fonctions

UNION DES COMORES
Unité– Solidarité– Développement
--------------
Ministère des Relations Extérieures et de la Coopération chargé de la Diaspora, de la Francophonie et du Monde Arabe

جمهورية القمر المتحدة
وحدة - تضامن - تنمية
--------------
وزارة العلاقات الخارجية والتعاون المكلفة
بالقمريين في الخارج والفرانكفونية والعالم العربي
----------
COMMUNIQUE DE PRESSE
DU MINISTERE DES RELATIONS EXTERIEURES ET DE LA COOPERATION, CHARGE DE LA DIASPORA DE LA FRANCOPHONIE ET DU MONDE ARABE
Le Ministère des Relations Extérieures et de la Coopération chargé de la Diaspora, de la Francophonie et du Monde Arabe informe qu'un de ses agents, Conseiller à l'Ambassade de l'Union des Comores en Arabie Saoudite est soupçonné d'avoir voulu organiser la fuite du pays d'une dame sous contrôle judiciaire poursuivie pour des faits liés aux passeports de la nationalité économique.
L'agent aurait introduit au ministère une demande de délivrance de titres de transport aux fins d'un regroupement familial en Arabie Saoudite contenant un acte de mariage, des copies d'Extraits d'actes de naissance de mineurs et des photos.
A l'examen, il s'est avéré que la dame qui a été placée quelques mois sous mandat de dépôt à la maison d'arrêt de Moroni est toujours l'épouse de l'homme avec lequel elle aurait fait le grand mariage et qui, serait actuellement domicilié en France. Les enfants ne seraient les siens et avec l'agent du Ministère, il n'y aurait aucun lien légitime.
Informé de ces faits, le Ministère a mis fin à la procédure de délivrance des passeports, relevé l'agent de ses fonctions de conseiller à l'Ambassade des Comores à Riyad, ouvert une enquête administrative pour clarifier les faits et ordonné le retour de l'agent à Moroni pour se mettre à la disposition de la justice.
Le Ministère qui collabore étroitement avec la police pour la manifestation de la vérité avisera sur la base des conclusions de l'enquête judiciaire et pourrait éventuellement se constituer partie civile.

Moroni, le 08 juin 2015
Article transmis par Mohamed Abdou Hassani (ORTEGA)
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.

lundi 8 juin 2015

Sambi : un danger pour les Comores




Oui : Sambi est un danger pour les Comores. Et je ne veux pas parler ici de sa démagogie (faire croire à la population comorienne que gouverner un pays pauvre et peu instruit est facile ou que l'on peut résoudre les problèmes sans les étudier profondément) ; je ne veux pas parler de ses promesses non tenues (éliminer les cases en végétaux, généraliser l'eau et l'électricité, créer des emplois pour les jeunes instaurer une justice impartiale, moraliser la vie politique...) ; je ne parlerai non plus de la vente de notre citoyenneté ni du fait de rapprocher les Comores d'un pays banni par la communauté internationale (l'Iran) ni de l'introduction du chiisme aux Comores ni de l'assassinat de Combo Ayouba qui a eu lieu sous on mandat et qui reste encore un grand mystère...
Je veux parler du rapport que Sambi entretient avec la loi de la République. Les choses sont simples : Sambi n'aime la loi que quand elle lui sert !
Regardons les faits. Azali, qui aurait pu mettre le pays à feu et à sang pour se maintenir au pouvoir, respecte la constitution et se retire en 2006. Sambi arrive à Beit Salam, modifie la constitution et se fait bénéficier ce changement (qui allait évidemment dans ses intérêts !). Il ne cède le tour de la présidence du pays à l'île de Mohéli que contraint et forcé (serait-il parti si Kadafi était encore resté au pouvoir ?). Je vous épargne bien sûr le conflit qu'il a eu avec la Cour Constitutionnelle (sur le cas de Mouzoir Abdallah), celui qu'il a eu avec l'assemblée nationale (lors du vote de la loi sur la citoyenneté économique). Je vous évite aussi la mascarade électorale qui a eu lieu à Anjouan...
Et puis avant de quitter Beit Salam, il s'est servi de la loi qu'il n'a pas pu violer pour placer tous ses hommes au pouvoir dans l'espoir de se resservir de la même loi pour le regagner. Mais les choses ne se déroulent plus comme il l'avait imaginé ! La loi ne lui sert plus et les hommes qu'il a placés au pouvoir ne lui obéissent plus !
Et nous arrivons au tour de la présidence de Ngazidja. Sambi, par ses talents de sophiste (qui trompent seulement les esprits les plus fragiles), veut se présenter aux élections présidentielles. Je simplifie : Sambi, devenu président de la République parce qu'il était Anjouanais, voulait empêcher Mohéli de gouverner (car il voulait rester au pouvoir !) ; et il ne veut pas laisser Ngazidja y accéder (car il veut revenir au pouvoir !).
Et la loi qui lui a permis d'accéder au pouvoir ? Il s'en moque évidemment : elle ne lui sert plus maintenant et il n'a pas envie d'attendre 2021 – c'est beaucoup trop loin pour lui ; et le plus important, c'est lui bien sûr !
La candidature de Sambi aux élections présidentielles de 2016 fait planer sur le pays une gigantesque menace d'instabilité. Quelle sera la réaction de la Cour Constitutionnelle si Sambi lui soumet sa candidature ? Si elle la valide, quelle sera celle de l'armée nationale (de plus en plus composée de personnes qualifiées) ? Quelle sera la réaction de la population de Ngazidja qui se verra refusée ainsi son tour de gérer le pays ? Sambi se souvient-il que les séparatistes ne sont pas seulement logés à Anjouan ? Et qu'ils sont très nombreux et peut-être plus nombreux à Ngazidja qu'à Anjouan ?
Et que ces derniers, qui savent qu'Anjouan n'est revenu dans le giron de l''Union que de façon superficielle, et que Ngazidja paie souvent pour les autres îles, espèrent et prient même pour que renaisse une nouvelle crise séparatiste qui viendrait cette fois-ci non de Mutsamudu mais de Moroni ? Sambi perçoit-il vraiment cette menace ? Se sent-il capable de la gérer ? Ou croit-il que l'invocation des versets coraniques suffira à calmer des esprits naïfs, affamés et désespérés ?
Il ne suffit pas maintenant de constater la menace ; il faut surtout la combattre, et de façon démocratique : en créant une large coalition capable de mettre Sambi en minorité dans le pays. Que certains se rappellent que le retour de Sambi à Beit Salam signe leur mort (au moins politique sinon biologique !) avant celle du pays.








Nassurdine Ali Mhoumadi, docteur ès Lettres, enseignant et essayiste, est chroniqueur à l'hebdomadaire Albilad publié à Moroni.