L'Union des Comores est elle un pays démocratique ? pourquoi le vice- Président Mamadou refuse de répondre aux questions des Députés ? Plusieurs fois invité à l'Assemblée nationale par ces derniers , notre Mamadou, puissant ministre du ciel et de la terre, refuse et défie les représentants du peuple souverain des Comores . II fuit ses responsabilités et refuse de s'expliquer sur ses crimes économiques : les milliards d'argent relatif à la citoyenneté économique, la signature au mépris des règles et à l'insu du ministre chargé de l’énergie d'un contrat de vente de notre pétrole avec une société étrangère, le surendettement des Comores durant ces 5 ans ( plus de 75 milliards de FC), l'explosion de la masse salariale ( 1,7 a 2,4 milliards / mois), l'utilisation des recettes étatiques , la procédure d'attribution de la deuxième licence au profit de la société Telma, l’exploitation du site de Handuli,......, le Wazir wa hemalené refuse de répondre aux questions des députés alors que d'autres ministres acceptent le jeu démocratique en l' occurrence le ministre de l'Intérieur , Houmed Msaidie. Dommage que cet homme passionné de politique , plusieurs fois ministre , députe , directeur de cabinet et qui vit modestement sans compte bancaire à l'étranger, n'en déplaise à ses détracteurs , accepte de s'allier à un homme attiré par les milliards et qui a passé sa vie à faire du mal à son pays depuis le début des années 80 comme l'avait bien écrit son ami et co-villageois imposé à la BAD, Abdallah Msa, dans son livre bilan des 25 ans d'indépendance. Il en ressort que Mamadou est responsable de 42 % de la dette contacté à l'époque d'Abdallah. J'invite les députés comoriens à persévérer dans cette bataille. Ils pourraient sensibiliser l'opinion publique sur ce comportement puéril et antidémocratique de notre vice-président. Ils pourraient aussi légiférer pour qu'un tel comportement irresponsable ne soit pas ériger en modèle par les futurs responsables de notre pays. La Cour constitutionnelle devrait faire sienne cette bataille. La classe politique devrait aussi exiger que notre vice-président joue le jeu démocratique à défaut le pousser à démissionner. Les Chercheurs comoriens devraient se pencher sur les crimes économiques perpétrés par notre Mamadou . Les générations futures qui seront contraints de payer les pots cassés ont le droit de savoir la réalité. L'Histoire est le seul juge avait coutume à dire feu Président Ali Soilih.
Abdou Katibou
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