COMMUNIQUE
La
naissance du journal Albilad a endeuillé les ennemis de la liberté de presse de
notre pays. Des pyromanes aux apparences de leaders politiques esseulés et réduits aux rôles de marchands de visas
multiplient les déclarations, les conférences de presse pour tout simplement
séduire à titre de grâce de certaines chancelleries étrangères accréditées en
Union des Comores.
Mode
d’emploi : Terrorisme.
Ces
courtiers portent délibérément des accusations très graves contre notre journal
Albilad. Cet hebdomadaire bilingue se propose de tenir compte de la dualité
linguistique franco-arabe de notre pays. Si écrire en arabe constitue un indice
sérieux et suffisant pour déceler des activités terroristes et bien beaucoup de
confrères sont tombés dans ce panneau bien avant nous. Nous ne recevons ni zakat,
ni autre financement que se soit. Nous
vivons au rythme de notre activité qui n’est pas encore à son meilleur niveau.
Un journal financé par des puissances étrangères serait, à notre avis, capable
de recruter en masse et de paraitre quotidiennement. Libre à leur tour aux
auteurs des diffamations de porter à leur tour, la ou les preuves à leurs
dispositions.
En
citant le nom d’Azali Assoumani et celui de l’ancien ambassadeur le Dr Hamidou
Karihila, premier secrétaire national de
la CRC, on comprend aisément que les auteurs de ces diffamations ne sont autres
que les adversaires politiques de l’ancien président habitués à attaquer pour
espérer un éventuel repêchage. Vouloir à tout prix, salir un homme dont on a par
le passé claironné ses mérites ne fait pas de l’auteur ni un héros ni un
champion ; plus tôt un candidat idéal à la délinquance politique. Allez régler vos comptes ailleurs, Albilad
n’est ni plus ni moins qu’un journal comme les autres, qui comme d’autres
confrères de la place peine à paraitre même hebdomadairement. Albilad rejette
catégoriquement toutes ces accusations, condamne le terrorisme sous toutes ses
formes et invite ses détracteurs à plus
de sagesse, pour mettre fin à leurs manœuvres liberticides.
Fait à Moroni le 6 octobre 2014
ALBILAD
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