vendredi 5 septembre 2014

Boléro pète un plomb !


Boléro pète un plomb !Hamada Madi Boléro doit partir !

Dans son spacieux bureau de la présidence de la République, le directeur de cabinet du chef de l'Etat, Hamada Madi Boléro ne sait où mettre ses pieds. Le seul soutien qui lui reste est Mma Halouoi et encore ! A l'heure qu'il est une longue lettre signée par les deux vice-présidents Mamadou et Nourdine Bourhane, adressée au chef de l'Etat, explique les motifs qui leur poussent à demander son limogeage. Un courrier qui s'ajoute à un autre, celui signé par l'ancien ministre des finances d'Ahmed Abdallah, Mr Ali Nassor, rédigé à Anjouan au domicile de l'ancien président Sambi, à Mutsamudu, au lendemain du mariage de sa fille. Ce courrier auquel Sambi, Said Hassane Said Hachim, ou Mouhtar Ahmed Charif voire Mohamed Halifa, président de la Commission anti-corruption y ont participé, exige le départ de Bolero de Beit-Salam, après les insultes de ce dernier sur Said Mohamed Cheikh.

Dans cette lettre signée par les vice-présidents, la signature d'un autre vice-président, Fouad Mohadji, n'apparait pas. Selon les proches du mal aimé et indésirable du couple présidentiel, Dr Fouad Mohadji, ce dernier aurait refusé de cautionner le départ de son vrai faux ennemi, solidarité mohélo-mohelienne oblige. L'enfant de Fomboni a vite compris qu'après le 26 mai 2016, tous les mohéliens auront pour terminus Mohéli, quelque soit le lieu de destination. Mais se regarder les uns et les autres dans les yeux, serait un exercice difficile.

En tout cas, tous les comoriens souhaitent le départ de Bolero car trop c'est trop. L'homme n'aime que lui-même. On sait qu'Ikililou résiste à la pression des uns et des autres mais jusqu'à quand. Devant cette pression, se dégage aujourd'hui un front qui surprend et qui doit attirer notre attention. C'est ce coup dur que nous prépare le trio sambi-Ali Nassor-Said Hassane Said Hachim derrière l'honneur de Said Mohamed Cheikh. Nous sommes convaincus tous que Bolero a fauté, et nous demandons tous son départ, mais en aucun moment on ne laissera Ali Nassor-Sambi et Said Hassane, nous enterrer vivant !





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