vendredi 12 septembre 2014

Un mandat d'arrêt international contre shémir Kamoula !


Shemir Kamoula viré, Chouchou Kamoula licencié, NICOM va changer de nom
Inéluctable extradition de Shemir Kamoula de Madagascar vers l’Union des Comores

Par ARM

  Un homme fuyait la Mort et avait cru bien faire en allant se cacher à Samarkand. Au bout de quelques jours, il commença à mieux respirer, croyant que la Mort l’avait oublié et ne le retrouverait jamais dans sa cachette dans cette cité chargée d’Histoire et de gloire. Au moment où il croyait avoir vraiment échappé à la Mort, il vit celle-ci, majestueuse et «mortelle», faire son apparition. Croyant que celle-ci cherchait d’autres personnes, il lui demanda: «Que fais-tu ici?». La Mort lui répondit: «Je suis à ta recherche». C’est exactement la posture dans laquelle se retrouve aujourd’hui Môssieur Shemir Kamoula qui, après avoir ruiné la Société NICOM, est allé se cacher à Madagascar, comme cela était prévisible, oubliant ingénument et imprudemment que l’extradition existe entre les Comores et Madagascar, et surtout en ignorant également l’amitié liant Hery Rajaonarimampianina, Président de la République de Madagascar, au Directeur de COFIPRI, la Société devenue l’actionnaire majoritaire de NICOM. Donc, à moins de trouver les moyens de quitter Madagascar dans la clandestinité pour une destination extraterrestre inconnue, Môssieur Shemir Kamoula est fait comme un rat. Il a trop tiré sur la corde, et aujourd’hui, il en paie le prix fort. Sa gestion calamiteuse a valu à son frère Chouchou Kamoula une lettre de licenciement sec de NICOM ce mardi 9 septembre 2014. Mais, que reproche-t-on au juste à Môssieur Shemir Kamoula? Pour répondre à la question, il faudra mentionner les «gâteries» suivantes: un «trou noir» ayant absorbé 3 milliards de francs comoriens, un budget mensuel de 30 millions de francs comoriens destiné à corrompre les Députés Abdoulfattah Saïd Mohamed, Bianrifi Tarmindhi, Hassan Ali Tabibou, Antoisse Mohamed Ibrahime, Latuf Abdou et Attoumane Allaoui, le Grand Mufti de la République, les Magistrats, les gendarmes, les ministres de l’Intérieur, les Madi Moindjié, «Nono», «Félix» et autres mauvais garçons. S’en ajoute la mère de toutes les bêtises: un stock de boissons alcoolisées de 1 milliard de francs comoriens en voie de péremption, dont de la bière ayant une valeur de 125 millions de francs, une bière également exposée à une péremption qui va intervenir dans quelques jours et qu’il faudra jeter à la mer, au risque de souler les barracudas, cachalots, dauphins, baleines, exocets, cœlacanthes, capitaines et goujons pendant un petit siècle.



  Une fois de plus, il faut insister sur le fait que les actionnaires de COFIPRI sont des Blancs, essentiellement originaires du Luxembourg. Or, à la différence des Noirs Comoriens, ces Blancs font tout pour qu’on ne les prenne pas pour des plaisantins laxistes et je-m’en-foutistes. Ils ont juré de ne pas lâcher Môssieur Shemir Kamoula, qu’ils ont eu en beauté en lui demandant ce qu’il fallait faire pour sauver la société du déclin. Imprudemment, Môssieur Shemir Kamoula a fait exactement ce que les Blancs de COFIPRI attendaient de lui, puisqu’il lança: «Il faudra injecter de nouvelles sommes dans l’entreprise». Ce que firent les Blancs de COFIPRI. Or, alors qu’elle détenait déjà 44% des actions de NICOM, en «injectant» de nouvelles sommes sur la Société, l’entreprise COFIPRI devint l’actionnaire majoritaire de NICOM. Cela lui a permis de vider et virer Môssieur Shemir Kamoula de la tête de NICOM. Les responsables de COFIPRI sont très choqués par les manières cavalières et bananières de Môssieur Shemir Kamoula, qui a terni de la manière la plus inacceptable la réputation et le nom de la Société NICOM que désormais l’entreprise va devoir changer de nom pour fuir l’opprobre dans laquelle l’ancien Directeur l’a jetée. C’est très grave. La Banque centrale des Comores (BCC) et la Banque pour l’Industrie et le Commerce (BIC) ont déjà pris toutes les mesures qu’il faut pour bloquer toute tentative de mouvement de fonds de la part de l’ancien «Golden Boy», aujourd’hui en cavale sur les plateaux de Madagascar. Il n’échappera pas à la vindicte des dirigeants de COFIPRI, qui ont décidé de l’étrangler devant le juge, par l’estomac, la signature et le portefeuille. Comme dans toute situation pareille, on ne verra que ses seconds couteaux de type Hassane Ali Tabibou et Abdoulfattah Saïd Mohamed tenter de sauver un moribond, mais toujours par les outrances, les grossièretés, le vulgaire et le subalterne. C’est inéluctablement la fin lamentable d’un homme qui a possédé la République, l’État et ce qu’il y a dedans, dans un style ayant fait de lui «l’Al Capone des Comores», un mauvais garçon qui n’a pas su faire ses affaires louches dans la discrétion et de manière intelligente. Une fois de plus, force de constater que l’hallali a sonné pour lui le jour où il a demandé à ses vulgaires Députés de défier à l’Assemblée de l’Union des Comores le Vice-président Mohamed Ali Soilihi et le ministre Abdoulkarim Mohamed.



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2 commentaires:

  1. Vous qui publiez les articles concernant Shemir kamoula,Soyez prudent car on vous connait tous...Vous vous croyez aussi Magistrat alors que vous n'avez meme pas de certificat de capacité en droit.Soyez vigilant de tout ce que vous propagez.Si le guouroux vous mettent a l'aise a l'insolence et dénigrement en la personne nommé Shemir j'attend ton retour pour accomplir ta mission.Bravo a toi

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