L'ancien
satrape impliqué dans des trafics malodorants qui vont lui coûter bon
Ah ! Ahmed Sambi! Il ne peut donc pas se tenir tranquille un seul instant.
Toujours agité comme s'il avait des furoncles là où ça fait le plus mal. Alors
qu'il a déjà fort à faire aux Comores, où il est impliqué dans des dossiers
aussi douteux les uns que les autres, il a fallu qu'il aille se mettre dans de
beaux draps en Guinée. En Guinée-Conakry. Là où notre Président Ikililou
Dhoinine bien-aimé a fait ses études supérieures en Pharmacie. Il faudra
vraiment recourir à l'expertise d'un bon psychanalyste pour tenter de percer le
mystère entourant un homme sans aucune connaissance, ni expertise en matière de
gestion publique, géopolitique et géostratégie mais qui, pourtant se paie le
luxe de se prendre tellement au sérieux qu'il s'implique dans des dossiers
sensibles concernant des pays qu'il n'arrive même pas à situer sur une carte du
monde. Et ses crypto-sambistes toujours prêts à proférer les plus gros mensonges
pour couvrir les agissements de leur chef de confrérie, qui surestime toujours
ses capacités au-delà du raisonnable et de l'acceptable? On le voit aux côtés
des hautes autorités tanzaniennes? Les crypto-sambistes s'empressent de crâner
en prétendant sans rire que leur chef est sollicité par la Tanzanie pour
l'instauration de relations d'affaires avec les monarchies du Moyen-Orient,
alors que le bavard intarissable n'est en Tanzanie qu'en tant qu'investisseur
dans deux cimenteries et autres affaires juteuses. Or, les relations entre la
Tanzanie et le Moyen-Orient sont plusieurs fois séculaires, et la Tanzanie n'a
nullement besoin d'un Comorien pour dialoguer avec des pays de son
environnement géopolitique traditionnel. Zanzibar, en Tanzanie, fait bien
partie de l'univers géopolitique et historique du Sultanat d'Oman, et cela bien
avant le XIXème siècle.
Et comme l'Afrique de l'Est et l'océan Indien ne lui suffisaient plus, il a fallu qu'il aille s'impliquer dans une sale affaire de vente de deux blocs du «pétrole» comorien (au fait, où en sont les premières gouttes?), et comme un mensonge entraîne toujours un autre, ce mensonge a fini par s'enchaîner à celui de la bauxite qu'il est censé traficoter en Guinée-Conakry. Ahmed Sambi vendeur de la bauxite de la Guinée-Conakry! On aura tout vu de la part de cet homme agité, prétentieux et vantard.
Ce qui est inquiétant pour Ahmed Sambi, c'est que, au-delà de la frime qui sied bien au personnage haut en couleurs du Procureur général Soilihi Mahmoud dit «Sako», qui aime se montrer goguenard et débonnaire, la mission que ce dernier a effectuée très sérieusement à Paris du 4 au 14 juin 2014 sur l'affaire de la tentative de coup d'État du 19 avril 2013 aux Comores, n'a pas été inutile, loin s'en faut. En effet, le pêcheur Soilihi Mahmoud a jeté ses filets dans les eaux de la Seine et de la Marne et a ramené beaucoup de poissons, dont certains ne sont pas d'eau douce, et pour cause. «Andjabou»! Miracle! Eh oui... La tentative de coup d'État aux Comores le 19 avril 2013 est intimement liée à la vente de deux blocs de pétrole par Ahmed Sambi à des étrangers et à cette affaire de trafic de bauxite en Guinée par l'ancien Président des Comores voulant jouer les VRP partout à travers le monde. Dieu seul sait comment il fait pour se faire emberlificoter dans des affaires pareilles, jamais piquées de hannetons. Dieu seul le sait, et Il est le plus grand. Le hic, c'est que les magistrats étrangers en charge du dossier ont pris une décision radicale et fort déplaisante pour Ahmed Sambi: l'exclusion de toute forme de complaisance envers l'ancien satrape, même si ce dernier avait été Président des Comores de 2006 à 2011. Au secours!
«Oui, mais l'ancien satrape a toujours réussi à passer à travers les mailles du filet d'une “Justice” comorienne qui ne lui a jamais cherché noise», seraient tentés de dire les sceptiques, nombreux chez les Comoriens, qui connaissent le laxisme de la «Justice» comorienne. Justement, cette fois, il ne s'agit pas de la «Justice» des «Noirs» aux Comores, mais de celle des «Blancs», sur le territoire français, d'où sont partis les exécutants à qui il avait demandé de renverser et assassiner Ikililou Dhoinine le 19 avril 2014. Et, en lisant entre les lignes, on constate que le Procureur général Soilihi Mahmoud n'a pas dit beaucoup de choses au cours de sa conférence de presse, mais ce qu'il a dit est largement suffisant pour comprendre qu'Ahmed Sambi peut être libre de parader et plastronner aux Comores, mais que dans les mois à venir, il aura du souci à se faire au point qu'on ne le verra probablement plus sur le territoire français, où il risquera de se faire jeter en prison. En effet, avec la légèreté qui le caractérise, Ahmed Sambi a vendu deux blocs de ce «pétrole» comorien qui joue les arlésiennes, et ce trabendo a des ramifications dans un autre trabendo, celui de la bauxite en Guinée-Conakry. Comme il est sommé de livrer les deux blocs de «pétrole» comorien en question, et comme il voit que la seule alternative qui se présente à lui réside dans son arrivée au pouvoir aux Comores, il tenta son coup d'État du 19 avril 2013, qui échoua piteusement. Par la suite, il tenta de faire dire à la Constitution ce qu'elle ne dit pas sur la présidence tournante, tout ça pour redevenir Président tout de suite et livrer les deux blocs de pétrole à ses pigeons étrangers pour rester en vie. Nous espérons que le Président Ikililou Dhoinine a pris des mesures spéciales pour se protéger contre les agissements de cet homme, qui est prêt à tout aujourd'hui.
Manque de chance pour lui, son ennemi intime, Hamada Madi Boléro, a été à l'origine de la conclusion d'une Convention d'entraide judiciaire entre les Comores et la France en juin 2013, et ce traité que fustige le «juriste en chef» du crypto-sambisme, ouvre de larges perspectives contre les gens comme Ahmed Sambi. Donc, comme le bon Soilihi Mahmoud a fait les choses en grand lors de sa visite «présidentielle» à Paris du 4 au 14 juin 2014, les choses vont aller très loin, en excluant toute forme de complaisance et de laxisme envers l'ancien satrape sur ce dossier très sensible. L'information a été confirmée par des sources proches du dossier. Donc, Ahmed Sambi et les crypto-sambistes n'ont qu'à croiser les doigts et attendre.
En tout état de cause, à la manière dont Ahmed Sambi s'implique dans des dossiers dépassant de très loin ses rachitiques capacités, même en recourant à sa propension naturelle à l'exagération, personne ne sera étonné le jour où nous apprendrons qu'il a tenté de sponsoriser les deux équipes nationales qui vont jouer la finale de la Coupe du monde de Football en 2014 au Brésil. Bon courage, Monsieur le Président.
Et comme l'Afrique de l'Est et l'océan Indien ne lui suffisaient plus, il a fallu qu'il aille s'impliquer dans une sale affaire de vente de deux blocs du «pétrole» comorien (au fait, où en sont les premières gouttes?), et comme un mensonge entraîne toujours un autre, ce mensonge a fini par s'enchaîner à celui de la bauxite qu'il est censé traficoter en Guinée-Conakry. Ahmed Sambi vendeur de la bauxite de la Guinée-Conakry! On aura tout vu de la part de cet homme agité, prétentieux et vantard.
Ce qui est inquiétant pour Ahmed Sambi, c'est que, au-delà de la frime qui sied bien au personnage haut en couleurs du Procureur général Soilihi Mahmoud dit «Sako», qui aime se montrer goguenard et débonnaire, la mission que ce dernier a effectuée très sérieusement à Paris du 4 au 14 juin 2014 sur l'affaire de la tentative de coup d'État du 19 avril 2013 aux Comores, n'a pas été inutile, loin s'en faut. En effet, le pêcheur Soilihi Mahmoud a jeté ses filets dans les eaux de la Seine et de la Marne et a ramené beaucoup de poissons, dont certains ne sont pas d'eau douce, et pour cause. «Andjabou»! Miracle! Eh oui... La tentative de coup d'État aux Comores le 19 avril 2013 est intimement liée à la vente de deux blocs de pétrole par Ahmed Sambi à des étrangers et à cette affaire de trafic de bauxite en Guinée par l'ancien Président des Comores voulant jouer les VRP partout à travers le monde. Dieu seul sait comment il fait pour se faire emberlificoter dans des affaires pareilles, jamais piquées de hannetons. Dieu seul le sait, et Il est le plus grand. Le hic, c'est que les magistrats étrangers en charge du dossier ont pris une décision radicale et fort déplaisante pour Ahmed Sambi: l'exclusion de toute forme de complaisance envers l'ancien satrape, même si ce dernier avait été Président des Comores de 2006 à 2011. Au secours!
«Oui, mais l'ancien satrape a toujours réussi à passer à travers les mailles du filet d'une “Justice” comorienne qui ne lui a jamais cherché noise», seraient tentés de dire les sceptiques, nombreux chez les Comoriens, qui connaissent le laxisme de la «Justice» comorienne. Justement, cette fois, il ne s'agit pas de la «Justice» des «Noirs» aux Comores, mais de celle des «Blancs», sur le territoire français, d'où sont partis les exécutants à qui il avait demandé de renverser et assassiner Ikililou Dhoinine le 19 avril 2014. Et, en lisant entre les lignes, on constate que le Procureur général Soilihi Mahmoud n'a pas dit beaucoup de choses au cours de sa conférence de presse, mais ce qu'il a dit est largement suffisant pour comprendre qu'Ahmed Sambi peut être libre de parader et plastronner aux Comores, mais que dans les mois à venir, il aura du souci à se faire au point qu'on ne le verra probablement plus sur le territoire français, où il risquera de se faire jeter en prison. En effet, avec la légèreté qui le caractérise, Ahmed Sambi a vendu deux blocs de ce «pétrole» comorien qui joue les arlésiennes, et ce trabendo a des ramifications dans un autre trabendo, celui de la bauxite en Guinée-Conakry. Comme il est sommé de livrer les deux blocs de «pétrole» comorien en question, et comme il voit que la seule alternative qui se présente à lui réside dans son arrivée au pouvoir aux Comores, il tenta son coup d'État du 19 avril 2013, qui échoua piteusement. Par la suite, il tenta de faire dire à la Constitution ce qu'elle ne dit pas sur la présidence tournante, tout ça pour redevenir Président tout de suite et livrer les deux blocs de pétrole à ses pigeons étrangers pour rester en vie. Nous espérons que le Président Ikililou Dhoinine a pris des mesures spéciales pour se protéger contre les agissements de cet homme, qui est prêt à tout aujourd'hui.
Manque de chance pour lui, son ennemi intime, Hamada Madi Boléro, a été à l'origine de la conclusion d'une Convention d'entraide judiciaire entre les Comores et la France en juin 2013, et ce traité que fustige le «juriste en chef» du crypto-sambisme, ouvre de larges perspectives contre les gens comme Ahmed Sambi. Donc, comme le bon Soilihi Mahmoud a fait les choses en grand lors de sa visite «présidentielle» à Paris du 4 au 14 juin 2014, les choses vont aller très loin, en excluant toute forme de complaisance et de laxisme envers l'ancien satrape sur ce dossier très sensible. L'information a été confirmée par des sources proches du dossier. Donc, Ahmed Sambi et les crypto-sambistes n'ont qu'à croiser les doigts et attendre.
En tout état de cause, à la manière dont Ahmed Sambi s'implique dans des dossiers dépassant de très loin ses rachitiques capacités, même en recourant à sa propension naturelle à l'exagération, personne ne sera étonné le jour où nous apprendrons qu'il a tenté de sponsoriser les deux équipes nationales qui vont jouer la finale de la Coupe du monde de Football en 2014 au Brésil. Bon courage, Monsieur le Président.
par ARM
lemohelien
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