L’avenir de la
formation technique professionnelle de pêche était au menu de la réunion
consultative sur ce domaine, tenue mardi, sous l’instigation du Ministère de
l’Éducation et de la Formation professionnelle, en collaboration avec le
Ministère de la Production et l’agence japonaise de coopération internationale.
L’avenir de la
formation technique et professionnelle de la pêche a fait l’objet d’une réunion
consultative entre le Ministère de tutelle, celui de la Production et l’agence
japonaise de coopération internationale. Le projet de formation, financé à
travers le fonds de l’agence japonaise de développement, s’est présenté comme
une opportunité pour faire découvrir les différentes formations offertes par
l’École Nationale de la Pêche et de Marine Marchande (ENPMM), implantée à
Anjouan.
C’est aussi l’occasion de sensibiliser les partenaires internationaux sur la suite à donner à un secteur de formation qui est, selon Abdoulkarim Mohamed, Ministre de l’Éducation nationale, l’ « une des priorités majeures du gouvernement en vue de fournir une formation adaptée à l’environnement économique, surtout axé sur les secteurs porteurs de développement et créateurs d’emplois tel que le tourisme, le BTP, l’agriculture et la pêche ».
Dans son discours d’ouverture des travaux de cette réunion de concertation, le Ministre qui a tenu au passage à remercier le gouvernement japonais et l’agence japonaise de développement international, principal bailleur du projet, affirme que l’ « implantation de ces structures de formation dans notre pays traduit un besoin réel qui relève du souhait et de la volonté du gouvernement comorien de reformer le système pour fournir des diplômes répondant aux besoins du marché du travail », a-t-il souligné.
Les Comores étant un pays insulaire, les ressources halieutiques représentent un trésor important à en croire Omar Houmadi, directeur de l’ENPMM. Et lui de poursuivre, l’« École Nationale de pêche et de marine marchande a une mission pour l’exploitation et la protection des ressources halieutiques ». Cette école a été inaugurée en 1985-1995 au titre de Centre de formation des pêcheurs sous la compétence de la direction des pêches. Elle fonctionne grâce à la coopération technique japonaise et dispense outre une formation continue pour les pêcheurs, une formation initiale sur le marin pêcheur, motoriste et valorisation des poissons. L’ENPMM a formé jusqu’ici 64 diplômés, dont 28 issus de l’ancien système.
Maoulida Mbaé
C’est aussi l’occasion de sensibiliser les partenaires internationaux sur la suite à donner à un secteur de formation qui est, selon Abdoulkarim Mohamed, Ministre de l’Éducation nationale, l’ « une des priorités majeures du gouvernement en vue de fournir une formation adaptée à l’environnement économique, surtout axé sur les secteurs porteurs de développement et créateurs d’emplois tel que le tourisme, le BTP, l’agriculture et la pêche ».
Dans son discours d’ouverture des travaux de cette réunion de concertation, le Ministre qui a tenu au passage à remercier le gouvernement japonais et l’agence japonaise de développement international, principal bailleur du projet, affirme que l’ « implantation de ces structures de formation dans notre pays traduit un besoin réel qui relève du souhait et de la volonté du gouvernement comorien de reformer le système pour fournir des diplômes répondant aux besoins du marché du travail », a-t-il souligné.
Les Comores étant un pays insulaire, les ressources halieutiques représentent un trésor important à en croire Omar Houmadi, directeur de l’ENPMM. Et lui de poursuivre, l’« École Nationale de pêche et de marine marchande a une mission pour l’exploitation et la protection des ressources halieutiques ». Cette école a été inaugurée en 1985-1995 au titre de Centre de formation des pêcheurs sous la compétence de la direction des pêches. Elle fonctionne grâce à la coopération technique japonaise et dispense outre une formation continue pour les pêcheurs, une formation initiale sur le marin pêcheur, motoriste et valorisation des poissons. L’ENPMM a formé jusqu’ici 64 diplômés, dont 28 issus de l’ancien système.
Maoulida Mbaé
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