Messieurs
les députés
A moins de quatre mois de la fin de votre mandat, nous tenons à vous exprimer nos regrets quant à vos agissements et vos sorties spectaculaires et malheureuses tout au long de votre mandat. Gardez s'il vous plait dans vos têtes que votre passage à l'Assemblée nationale a cicatrisé la République et le moment viendra où le peuple vous jugera sans complaisance. Ce pays qui vous a élevé et qui vous a donné la chance de le servir même si nous savons que vous n'avez pas les compétences requises pour occuper cette noble et honorable fonction vous observe et gardera en vous les hommes les plus haïs de la République.
Messieurs les députés,
L'histoire nous a appris que les mauvais élèves de la République finissent mal et surtout quand ils cherchent à piéger l'opinion en se prétendant démocrates alors que ce sont leurs intérêts personnels qu'ils mettent en avant. C'est le cas de vous deux Messieurs les députés. Qu'est ce que nous n'avons pas entendu de votre bouche Mr Abdoulfatahou sur vos accusations envers le chef de l'Etat, ses vice-présidents y compris la première dame, et on a naïvement cru à votre bonne foi malheureusement ce n'est pas le cas et nous le regrettons amèrement. Même si ceux qui vous connaissent nous ont avertis de votre degré de compréhension du sens de l'Etat, et aujourd'hui, nous leur présentons nos excuses et comme dit le proverbe, il n'est jamais tard pour mieux faire. Nous avons attendu que vous vous exprimiez sur le feuilleton malheureux qui a entaché l'image de la République au sujet du blocage du vote de la loi rectificative des finances par votre collègue Hassan II, qui a imposé la levée de la suspension de la note relative à l'importation des boissons alcoolisées adressée à la société NICOM représentée par Shemir Kamoula. Vous avez fait l'oreille sourde et quelques uns de vos collègues témoignent votre implication dans ces magouilles qui puent la corruption. Nous avons bel et bien compris que si vous avez pris le soin de tirer sur tout ce qui bouge c'est pour vos intérêts personnels et nous vous disons adieu.
Quant à Hassan II, il continue à penser que les comoriens ont la mémoire courte et ne se rappellent pas de ce jour où rentré d'un voyage dans les Emirats, il a tiré à boulet rouge sur le vice-président en charge des finances sur la gestion des navires battant pavillons comoriens. Encore une fois, naïfs que nous sommes, on a cru à ses bêtises. Sachant que son voyage a été payé par un riche arabe qui voulait lui aussi s'acquérir du pavillon comorien mais comme le vice-président Mohamed Soilih a refusé de se plier aux chantages de ce député mal intentionné, il n'a pas manqué l'occasion de tirer sur lui et aujourd'hui, les magouilles qu'il a opérées pour arracher la levée de la suspension de la note interdisant à NICOM d'importer l'alcool, montre le vrai visage de cet homme et le dénoncer au public est un devoir qui nous incombe.
Quant au député Abdoulfatahou, qu'on croyait tous le défenseur de la République avec ses interventions et ses attaques pour plaire à l'opinion alors qu'il n'a pas levé le petit doigt dans cette sale affaire de monopole d'alcool, alors qu'une loi anti-monopole est votée et promulguée, mais comme son collègue Hassan II, a bien partagé avec ses collègues les 5o millions qui lui sont remis par Shemir le député Abdoulfatahou a accompagné son ami dans ses dérapages et s'est effacé partout même sur les toiles où il est devenu une icône et ce pour soutenir Hassan II. Ceci est une illustration parfaite de cet homme qui manipule l'opinion pour ses intérêts personnels.
Nous vous indiquons Messieurs les députés que vous êtes les ennemis de notre ami Shemir contrairement à ce qu'il pense car ces 50 millions lui auraient servi à éponger ses dettes auprès de la douane, ce qui aurait permis à Ali Hamisse de verser cette somme dans les caisses de l'Etat pour que les fonctionnaires soient payés, au moment où le mois de mai n'est pas encore payé. Encore une fois, cela montre votre mauvaise foi envers les citoyens que nous sommes car vos magouilles nous privent nos salaires. Honte à vous.
Messieurs les députés,
Nous saisissons cette occasion pour présenter nos excuses à celles et à ceux que nous avons convaincus dans nos circonscriptions respectives de voter pour ces élus corrompus car notre part de responsabilité est énorme. Qu'Allah nous pardonne car nous avons fauté, et comme dit l'adage, une faute avouée est à moitié pardonnée.
Des électeurs en colère, des circonscriptions de Moroni Nord et Itsandra-Hamanvou
A moins de quatre mois de la fin de votre mandat, nous tenons à vous exprimer nos regrets quant à vos agissements et vos sorties spectaculaires et malheureuses tout au long de votre mandat. Gardez s'il vous plait dans vos têtes que votre passage à l'Assemblée nationale a cicatrisé la République et le moment viendra où le peuple vous jugera sans complaisance. Ce pays qui vous a élevé et qui vous a donné la chance de le servir même si nous savons que vous n'avez pas les compétences requises pour occuper cette noble et honorable fonction vous observe et gardera en vous les hommes les plus haïs de la République.
Messieurs les députés,
L'histoire nous a appris que les mauvais élèves de la République finissent mal et surtout quand ils cherchent à piéger l'opinion en se prétendant démocrates alors que ce sont leurs intérêts personnels qu'ils mettent en avant. C'est le cas de vous deux Messieurs les députés. Qu'est ce que nous n'avons pas entendu de votre bouche Mr Abdoulfatahou sur vos accusations envers le chef de l'Etat, ses vice-présidents y compris la première dame, et on a naïvement cru à votre bonne foi malheureusement ce n'est pas le cas et nous le regrettons amèrement. Même si ceux qui vous connaissent nous ont avertis de votre degré de compréhension du sens de l'Etat, et aujourd'hui, nous leur présentons nos excuses et comme dit le proverbe, il n'est jamais tard pour mieux faire. Nous avons attendu que vous vous exprimiez sur le feuilleton malheureux qui a entaché l'image de la République au sujet du blocage du vote de la loi rectificative des finances par votre collègue Hassan II, qui a imposé la levée de la suspension de la note relative à l'importation des boissons alcoolisées adressée à la société NICOM représentée par Shemir Kamoula. Vous avez fait l'oreille sourde et quelques uns de vos collègues témoignent votre implication dans ces magouilles qui puent la corruption. Nous avons bel et bien compris que si vous avez pris le soin de tirer sur tout ce qui bouge c'est pour vos intérêts personnels et nous vous disons adieu.
Quant à Hassan II, il continue à penser que les comoriens ont la mémoire courte et ne se rappellent pas de ce jour où rentré d'un voyage dans les Emirats, il a tiré à boulet rouge sur le vice-président en charge des finances sur la gestion des navires battant pavillons comoriens. Encore une fois, naïfs que nous sommes, on a cru à ses bêtises. Sachant que son voyage a été payé par un riche arabe qui voulait lui aussi s'acquérir du pavillon comorien mais comme le vice-président Mohamed Soilih a refusé de se plier aux chantages de ce député mal intentionné, il n'a pas manqué l'occasion de tirer sur lui et aujourd'hui, les magouilles qu'il a opérées pour arracher la levée de la suspension de la note interdisant à NICOM d'importer l'alcool, montre le vrai visage de cet homme et le dénoncer au public est un devoir qui nous incombe.
Quant au député Abdoulfatahou, qu'on croyait tous le défenseur de la République avec ses interventions et ses attaques pour plaire à l'opinion alors qu'il n'a pas levé le petit doigt dans cette sale affaire de monopole d'alcool, alors qu'une loi anti-monopole est votée et promulguée, mais comme son collègue Hassan II, a bien partagé avec ses collègues les 5o millions qui lui sont remis par Shemir le député Abdoulfatahou a accompagné son ami dans ses dérapages et s'est effacé partout même sur les toiles où il est devenu une icône et ce pour soutenir Hassan II. Ceci est une illustration parfaite de cet homme qui manipule l'opinion pour ses intérêts personnels.
Nous vous indiquons Messieurs les députés que vous êtes les ennemis de notre ami Shemir contrairement à ce qu'il pense car ces 50 millions lui auraient servi à éponger ses dettes auprès de la douane, ce qui aurait permis à Ali Hamisse de verser cette somme dans les caisses de l'Etat pour que les fonctionnaires soient payés, au moment où le mois de mai n'est pas encore payé. Encore une fois, cela montre votre mauvaise foi envers les citoyens que nous sommes car vos magouilles nous privent nos salaires. Honte à vous.
Messieurs les députés,
Nous saisissons cette occasion pour présenter nos excuses à celles et à ceux que nous avons convaincus dans nos circonscriptions respectives de voter pour ces élus corrompus car notre part de responsabilité est énorme. Qu'Allah nous pardonne car nous avons fauté, et comme dit l'adage, une faute avouée est à moitié pardonnée.
Des électeurs en colère, des circonscriptions de Moroni Nord et Itsandra-Hamanvou
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