Récolter
le fruit de l'inconscience criminelle d'Ahmed Sambi dans des attentats
La coïncidence est horrible. Sanglante. N'est-ce pas ce dimanche 22 juin
2014, hier donc, que nous parlions des liaisons dangereuses d'Ahmed Sambi au
Liban, Israël et Syrie? Eh bien, moins de 24 heures plus tard, ce lundi 23 juin
2014, à 12 heures 43, l'Agence France Presse et le Figaro enfoncent le clou par
la nouvelle fort horrible suivante: «Un Français d'origine comorienne,
soupçonné d'avoir voulu commettre un attentat suicide au Liban, est interrogé
par la justice après avoir été interpellé vendredi dans un hôtel de Beyrouth, a
indiqué aujourd'hui à l'AFP une source judiciaire libanaise. La police et la
Sûreté générale libanaises avaient annoncé vendredi, dans un communiqué, avoir
investi un hôtel de Hamra, un quartier commercial dans l'ouest de Beyrouth, et
appréhendé 17 personnes, sur la base d'informations concernant “la
planification par un groupe terroriste d'attentats à l'explosif à Beyrouth et
dans d'autres régions libanaises”. Une source judiciaire a précisé aujourd'hui
que “toutes ces personnes, arrêtées dans le cadre de l'enquête de la cellule de
Hamra, ont été relâchées à l'exception d'une seule, un Français originaire des
Comores et qui est interrogé”. Elle a refusé de donner des détails sur son
identité, ni sur la teneur de l'interrogatoire qui se déroule sous la
supervision du procureur général Samir Hamoud. Le quotidien Al-Akhbar affirme
aujourd'hui que le Français ferait partie d'un groupe de quatre kamikazes
entrés au Liban. Selon le journal, le Français d'origine comorienne aurait
reconnu durant son interrogatoire être venu au Liban pour y commettre un
attentat suicide à l'instigation des jihadistes ultra-radicaux de l'État islamique
en Irak et au Levant (ÉIIL). Al-Akhbar avance que l'un des quatre kamikazes
serait l'auteur de l'attentat suicide vendredi à un barrage de la police au
Liban tuant un policier et blessant 33 personnes. Le ministre de l'Intérieur
avait indiqué qu'il avait un accent syrien».
Ah oui? Un «accent syrien»? Chez un Comorien? Allons bon! Donc, il ne s'agit pas d'un «comoro-comorien» mais d'un «araborien», un de ces Arabes et Iraniens bénéficiant de papiers d'identité comoriens, «grâce» à l'inconscience criminelle d'un homme: Ahmed Sambi, le promoteur de la hideuse «citoyenneté économique», de sinistre mémoire, un trabendo maléfique fondé sur une fausse loi. Dès le début de ce crime d'État, nous avons crié aux dangers consistant à vendre des documents administratifs à des étrangers que les Comores ne connaissent ni d'Adam, ni d'Ève. Ce n'est pas le cri d'un partisan défendant les intérêts d'un clan ou d'une chapelle, mais celui du juriste ayant fait du Droit international privé et qui connaît les chausse-trappes de la nationalité attribuée à des étrangers sans relation réelle avec l'État qui octroie ladite nationalité. Comment un Président de la République peut-il pousser la bêtise et la tentation criminelle jusqu'à devenir le chantre et l'acteur d'un trafic aussi immonde, parrainant une monstruosité qui met en danger non seulement la sécurité des Comores, mais également celle de la Planète entière, puisque les terroristes à qui les Comores vendent leurs passeports peuvent commettre leurs attentats partout dans le monde, en tuant aveuglement, sans discernement, comme ils ont l'habitude de le faire?
Ce qui est triste dans tout ça, c'est qu'Ahmed Sambi, l'inconscient par qui toutes ces horreurs criminelles sont devenues possibles fait comme si de rien n'était et compte aller mentir aux Comoriens, une fois de plus, au Foyer des Femmes de Moroni, ce mardi 24 juin 2014. Or, si les autorités comoriennes ne veulent pas perdre définitivement la face, elles doivent saisir cette occasion pour arrêter ce danger public ambulant, dont on découvre chaque jour les méfaits les plus méprisables et détestables. L'autorité publique est entièrement fondée pour interdire le meeting d'un homme dont le côté criminel apparaît chaque jour plus hideux aux yeux éberlués des Comoriens. N'oublions toujours pas le Rapport accablant qui est aujourd'hui entre les mains du Procureur général Soilihi Mahmoud et qui désigne nommément Ahmed Sambi comme le commanditaire de la tentative de coup d'État du 19 avril 2013, suite à la vente qu'il fit de deux blocs de «pétrole» à des étrangers qui réclament aujourd'hui leur dû et qui le poussent à ces derniers retranchements. La question qui se pose alors est celle de savoir si les Comores vont laisser un homme aussi dangereux s'adresser aux gens comme si de rien n'était, alors qu'on sait de quels crimes horribles il est capable.
N'oublions pas que depuis les horribles attentats du 7 août 1998 contre les Ambassades des États-Unis à Dar-Es-Salam et Nairobi, attentats préparés et exécutés par le Comorien Fazul Abdullah Mohamed, l'image des Comores est traînée dans la boue mondiale. Les passeports qui ont été utilisés par 6 membres du groupe terroriste de Fazul Abdullah Mohamed ont été des vrais passeports comoriens, remis par l'autorité légale comorienne, en échange de l'argent pour payer six mois de salaire aux Comores. Les autorités comoriennes n'en ont tiré aucune leçon. Par la suite, on vit les dignitaires du régime politique d'Azali Assoumani vendre des passeports à des étrangers, mais sous le manteau, même si les initiés savaient tout de ce trabendo immonde qui avait permis à Azali Assoumani et à son ministre des Affaires étrangères, son cousin Mohamed Elamine Soeuf, de se remplir les poches d'argent sale et puant comme un putois remontant d'une fosse septique.
Puis, vint Ahmed Sambi, l'homme qui ne connaît rien dans les affaires d'État et surtout en matière de relations internationales et qui refuse à ses côtés tout cadre valable, capable de lui suggérer des idées utiles, préférant la compagnie de courtisans gourmands, huileux, obséquieux et tout à fait inutiles. Des pique-assiettes et des gigolos. Pourquoi citer des noms alors qu'un crypto-sambiste en vaut un autre dans la médiocrité et dans la voyoucratie? On n'entendit donc aucun crypto-sambiste appeler à la raison le chef de la confrérie qui, jusqu'aujourd'hui, malgré les dérives, continue à proclamer les «bienfaits» de la «citoyenneté économique». Les crimes, dérapages et trabendo parallèle de sa créature Abou Achirafi Ali Bacar dit «le Pablo Escobar comorien» ne lui ont strictement rien appris. Rien du tout. Mais, que doivent lui apprendre les crimes économiques du bandit Abou Achirafi Ali Bacar alors que les siens propres sont encore plus graves et plus nauséabonds?
Aujourd'hui que le passeport comorien est utilisé pour voyager et aller commettre de crimes aveugles et immondes, l'homme qui a permis de telles dérives doit s'expliquer devant ce qui reste de la «Justice» comorienne. Ahmed Sambi doit s'expliquer devant le peuple comorien, qui ne comprend toujours pas comment un Président de la République a-t-il pu faire pour se transformer en vulgaire contrebandier faisant dans la kleptomanie et la kleptocratie.
Cette avalanche de mauvaises nouvelles se déclenche alors que toujours ce lundi 23 juin 2014, les Comoriens, horrifiés, apprennent encore que Hélène Pastor, la riche femme d'affaires de Monaco, abattue le 6 mai à Nice, France, et qui a succombé à ses blessures le 21 mai 2014, a comme assassins des Comoriens. Oui, des Comoriens. Est-ce que tout ça ne doit pas pousser l'État comorien à la prudence et à la mesure en matière de vente de passeports à des étrangers? L'aveuglement avec lequel Ikililou Dhoinine s'est déclaré fidèle à l'héritage d'Ahmed Sambi en matière de trabendo de passeports comoriens ne peut qu'inciter le peuple au scepticisme et à la peur bleue. Ceci est d'autant plus vrai que nous qui n'avons que notre passeport comorien avons peur et avons honte d'être montrés du doigt, par la faute de dirigeants aveugles, inexpérimentés et spécialisés dans le vol qualifié.
Par ARM
Lemohelien
Ah oui? Un «accent syrien»? Chez un Comorien? Allons bon! Donc, il ne s'agit pas d'un «comoro-comorien» mais d'un «araborien», un de ces Arabes et Iraniens bénéficiant de papiers d'identité comoriens, «grâce» à l'inconscience criminelle d'un homme: Ahmed Sambi, le promoteur de la hideuse «citoyenneté économique», de sinistre mémoire, un trabendo maléfique fondé sur une fausse loi. Dès le début de ce crime d'État, nous avons crié aux dangers consistant à vendre des documents administratifs à des étrangers que les Comores ne connaissent ni d'Adam, ni d'Ève. Ce n'est pas le cri d'un partisan défendant les intérêts d'un clan ou d'une chapelle, mais celui du juriste ayant fait du Droit international privé et qui connaît les chausse-trappes de la nationalité attribuée à des étrangers sans relation réelle avec l'État qui octroie ladite nationalité. Comment un Président de la République peut-il pousser la bêtise et la tentation criminelle jusqu'à devenir le chantre et l'acteur d'un trafic aussi immonde, parrainant une monstruosité qui met en danger non seulement la sécurité des Comores, mais également celle de la Planète entière, puisque les terroristes à qui les Comores vendent leurs passeports peuvent commettre leurs attentats partout dans le monde, en tuant aveuglement, sans discernement, comme ils ont l'habitude de le faire?
Ce qui est triste dans tout ça, c'est qu'Ahmed Sambi, l'inconscient par qui toutes ces horreurs criminelles sont devenues possibles fait comme si de rien n'était et compte aller mentir aux Comoriens, une fois de plus, au Foyer des Femmes de Moroni, ce mardi 24 juin 2014. Or, si les autorités comoriennes ne veulent pas perdre définitivement la face, elles doivent saisir cette occasion pour arrêter ce danger public ambulant, dont on découvre chaque jour les méfaits les plus méprisables et détestables. L'autorité publique est entièrement fondée pour interdire le meeting d'un homme dont le côté criminel apparaît chaque jour plus hideux aux yeux éberlués des Comoriens. N'oublions toujours pas le Rapport accablant qui est aujourd'hui entre les mains du Procureur général Soilihi Mahmoud et qui désigne nommément Ahmed Sambi comme le commanditaire de la tentative de coup d'État du 19 avril 2013, suite à la vente qu'il fit de deux blocs de «pétrole» à des étrangers qui réclament aujourd'hui leur dû et qui le poussent à ces derniers retranchements. La question qui se pose alors est celle de savoir si les Comores vont laisser un homme aussi dangereux s'adresser aux gens comme si de rien n'était, alors qu'on sait de quels crimes horribles il est capable.
N'oublions pas que depuis les horribles attentats du 7 août 1998 contre les Ambassades des États-Unis à Dar-Es-Salam et Nairobi, attentats préparés et exécutés par le Comorien Fazul Abdullah Mohamed, l'image des Comores est traînée dans la boue mondiale. Les passeports qui ont été utilisés par 6 membres du groupe terroriste de Fazul Abdullah Mohamed ont été des vrais passeports comoriens, remis par l'autorité légale comorienne, en échange de l'argent pour payer six mois de salaire aux Comores. Les autorités comoriennes n'en ont tiré aucune leçon. Par la suite, on vit les dignitaires du régime politique d'Azali Assoumani vendre des passeports à des étrangers, mais sous le manteau, même si les initiés savaient tout de ce trabendo immonde qui avait permis à Azali Assoumani et à son ministre des Affaires étrangères, son cousin Mohamed Elamine Soeuf, de se remplir les poches d'argent sale et puant comme un putois remontant d'une fosse septique.
Puis, vint Ahmed Sambi, l'homme qui ne connaît rien dans les affaires d'État et surtout en matière de relations internationales et qui refuse à ses côtés tout cadre valable, capable de lui suggérer des idées utiles, préférant la compagnie de courtisans gourmands, huileux, obséquieux et tout à fait inutiles. Des pique-assiettes et des gigolos. Pourquoi citer des noms alors qu'un crypto-sambiste en vaut un autre dans la médiocrité et dans la voyoucratie? On n'entendit donc aucun crypto-sambiste appeler à la raison le chef de la confrérie qui, jusqu'aujourd'hui, malgré les dérives, continue à proclamer les «bienfaits» de la «citoyenneté économique». Les crimes, dérapages et trabendo parallèle de sa créature Abou Achirafi Ali Bacar dit «le Pablo Escobar comorien» ne lui ont strictement rien appris. Rien du tout. Mais, que doivent lui apprendre les crimes économiques du bandit Abou Achirafi Ali Bacar alors que les siens propres sont encore plus graves et plus nauséabonds?
Aujourd'hui que le passeport comorien est utilisé pour voyager et aller commettre de crimes aveugles et immondes, l'homme qui a permis de telles dérives doit s'expliquer devant ce qui reste de la «Justice» comorienne. Ahmed Sambi doit s'expliquer devant le peuple comorien, qui ne comprend toujours pas comment un Président de la République a-t-il pu faire pour se transformer en vulgaire contrebandier faisant dans la kleptomanie et la kleptocratie.
Cette avalanche de mauvaises nouvelles se déclenche alors que toujours ce lundi 23 juin 2014, les Comoriens, horrifiés, apprennent encore que Hélène Pastor, la riche femme d'affaires de Monaco, abattue le 6 mai à Nice, France, et qui a succombé à ses blessures le 21 mai 2014, a comme assassins des Comoriens. Oui, des Comoriens. Est-ce que tout ça ne doit pas pousser l'État comorien à la prudence et à la mesure en matière de vente de passeports à des étrangers? L'aveuglement avec lequel Ikililou Dhoinine s'est déclaré fidèle à l'héritage d'Ahmed Sambi en matière de trabendo de passeports comoriens ne peut qu'inciter le peuple au scepticisme et à la peur bleue. Ceci est d'autant plus vrai que nous qui n'avons que notre passeport comorien avons peur et avons honte d'être montrés du doigt, par la faute de dirigeants aveugles, inexpérimentés et spécialisés dans le vol qualifié.
Par ARM
Lemohelien
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire