Le leader de la « révolution » libyenne avoue que Kadhafi n’a
jamais tué de manifestants
Les
États-Unis [avec la France et la Grande-Bretagne, ndt] et l’OTAN ont mis fin à
la laïcité en Libye et ont porté des extrémistes islamistes au pouvoir, qui ont
commis de nombreux crimes, y compris massacrer des milliers de Libyens noirs
immédiatement après la destruction du régime de Kadhafi.
Mustafa
Abdul Jalil, président du Conseil national de transition à Benghazi en 2011,
admet : Kadhafi n’a pas ordonné la fusillade qui a été à l’origine de la fausse
révolution en Libye. Maintenant, après la destruction de la Libye, Jalil avoue
au monde sur Channel One que les manifestants qui ont été tués à Benghazi qui
ont été le prétexte fourni à l’ONU et à l’OTAN pour attaquer la Libye ont été
tués par un groupe d’espions et de mercenaires qui n’étaient pas de Libye. Il
admet qu’il savait la vérité à l’époque mais cela a été fait pour abattre le
gouvernement libyen et briser l’Etat. Il admet qu’il a été informé à l’avance que
cela allait se produire et que les gens de la Libye n’ont pas reconnu les
manifestants morts parce qu’ils portaient des vêtements civils et qu’il n’y a
eu personne qui est venu à leurs funérailles comme ils n’avaient pas de parents
ou d’amis en Libye.
Comme
nous l’avons dit depuis Février 2011, la soit-disant révolution en Libye était
sous fausse bannière. Le peuple libyen pour la grande majorité était heureux et
vivait en sécurité. Les groupes extrémistes islamiques étaient illégaux en
Libye. Maintenant la Libye est contrôlée par des groupes extrémistes islamiques
(d’Al-Qaïda, le Groupe islamique combattant de la Jamahiriya (GICL), les Frères
musulmans, Ansar Al Sharia et autres). Le pays est divisé, il n’y a pas de
sécurité, des milliers depersonnes ont été illégalement emprisonnées et des
centaines torturées à mort. Il n’ya pas de gouvernement, il n’y a plus de
ventes de pétrole, plus de 2 millions de personnes sont toujours en exil, les
psychopathes ont pris le pays et il est maintenant considéré comme un
« Etat gris » – sans frontières et sans gouvernement.
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