O MSSADJADJA NGWADISSAWO: Amateurisme politique et idéologique de l'opposition
O MSSADJADJA NGWADISSAWO: Amateurisme politique et idéologique de l’opposition
Amateurisme politique et idéologique de l'opposition
L'amateurisme politique est le fléau qui a gangrené toute possibilité de changement et d'alternance politique aux Comores.
L'amateurisme politique dont je parle ici est celui qui résulte de l'improvisation, de l'impréparation et du manque de stratégies véritables de prise de pouvoir, le tout coiffé par une absence stupéfiante de principes idéologiques.
Autrement dit, c'est le manque d'idéologie politique réelle au sein des partis qui, jusqu'à présent, se sont réclamés de l'opposition qui a, en fin de compte, mené à leur déchéance et finalement, à leur ralliement au régime.
Ceci semble découler d'un fait simple : depuis 1978, les partis politiques comoriens n'ont véritablement jamais su pourquoi ou pour qui ils se battaient.
Sans principes idéologiques partagés à la fois par les leaders et les masses, il a toujours existé une discordance évidente entre ces leaders et leurs militants.
Ainsi, tandis que les leaders se battaient pour leur positionnement personnel sur l'échiquier politique national, les masses elles déambulaient par monts et par vaux, sans véritable sens de la direction dans laquelle leurs partis s'engageaient.
J'en veux pour preuve le fait que, de toutes les négociations qui se sont faites entre les partis dits de l'opposition et le régime du président, aucune réelle importance n'a été donnée aux éléments véritablement importants que sont l'application de la constitution, la réduction des pouvoirs du président de la république et l'établissement des principes d'état de droit qui s'imposent.
Au contraire, les négociations entre pouvoir et opposition se sont toujours limitées à des considérations superficielles et personnelles comme les portefeuilles ministérielles et autres conneries qui, à la base, ne risquaient pas du tout de remettre en cause la pérennité des régimes passés.
C'est finalement parce que les partis d'opposition se sont toujours trompés d'objectifs que, d'élection en élection, d'AHMED ABDALLAH ABDEREMANE à IKILILOU SAMBI ont pu se maintenir au pouvoir sans coup férir.
Et comme le combat de ces groupes dits d'opposition ne se résumait à rien d'autre qu'à leur désir de promotion personnelle, ils se sont souvent vite ralliés au régime, sans avoir, au préalable, obtenu le moindre avancement que ce soit qui puisse améliorer le quotidien d'une nation en souffrance.
Ils se sont tous contentés de faire de la politique cinéma et rien d'autre.
Du coup, c'est IKILILOU et ses semblables qui sont, à chaque fois, retrouvés confortés par les renoncements à répétition d'une opposition alimentarisée.
Autrement dit, quand un parti base son combat sur une idéologie réelle, il est impossible de voir un tel parti faire cause commune avec un parti défendant une idéologie contraire.
Par exemple, voir les partis de la mouvance faire cause commune avec le président devrait vouloir dire que, entre le président et ces groupes, une entente qui rapproche les idéologies aura été faite.
Rapprocher les idéologies n'est pas forcément une mauvaise chose quand, dans le rapprochement, chacun perd un peu de quelque chose pour produire quelque chose de nouveau, et donc, quelque chose de positif pour le pays.
Malheureusement, aux Comores, les alliances ne se basent pas sur de tels principes.
Quand il y a alliance, le parti d'opposition renonce tout simplement à continuer son combat pour l'état de droit aux Comores, devenant ainsi le complice des bassesses IKILILOUISTES qui tuent la nation.
Et c'est cela qui confirme le caractère fantaisiste des oppositions politiques façon Comorienne.
On s'oppose, non pas sur la base de ce que l'on croit juste pour le pays, mais parce que l'on souhaite se faire une place au soleil.
Sur la base donc de ces observations, une seule conclusion s'impose : avec la récente capitulation de certains, il n'y a tout simplement plus d'opposition politique aux Comores.
Autrement dit, le renoncement de quelqu'un marque la fin d'une longue lignée d'opposants de la vieille génération, qui comme IKILILOU à AHMED ABDALLAH, a toujours vu le pouvoir comme une affaire personnelle (INOU NDE YA TROU) ou (MOINA HATRU)et non comme une affaire d'état.
Ainsi, qu'il s'agisse d'IKILILOU, de SAMBI ainsi de suite on retrouve toujours les mêmes tares : soif de pouvoir pour le pouvoir, soif d'argent pour l'argent, goût exagéré pour les honneurs et la grande vie, et aucune pensée réelle pour le bien du peuple.
Certes, des opposants comme SAID ALI KEMAL ou MOUZAWAR ABDALLAH aiment à rejeter les raisons de leur échec sur le peuple, en prétextant que le peuple Comorien est trop passif et n'est pas encore prêt.
Mais ils oublient en fait que ce sont eux qui sont la cause de cette passivité : ils n'ont jamais su, et peut-être même jamais voulu, mobiliser ce peuple en vue de la solution finale, la seule qui puisse libérer les esprits et relancer les principes de justice et d'équité qui ont été pendant 40 ans confisqués par les notables.
Cette génération d'opposants et d'hommes politiques, c'est-à-dire, la génération de SAID HASSANE SAID HACHIM, d'OMAR TAMOU de MOUZAWAR ABDALLAH, d'ALI MROUDJAE et de SAID ALI KEMAL...etc, pour citer ceux qui sont vivants née sous l'ère des colons qui leur ont enseigné le goût de la mesquinerie, de la duplicité et de la dictature, a donc échoué sur toute la ligne.
ceci étant dit on ne peut pas leur imputer à eux seul tous nos échecs bien entendu notre génération à sa part de responsabilité de la dérive actuelle c'est pourquoi il est temps de nous ressaisir
La question est maintenant de savoir si la nouvelle génération Comorienne, elle, aura su tirer les enseignements qu'il faut de l'échec de leurs aînés, pour enfin se doter d'une opposition capable de faire autrement.
Pour ma part, les leçons sont toutes très évidentes. Si les 16 dernières années ont été décevantes, elles restent néanmoins riches d'enseignements.
Il suffit donc d'éviter de faire comme les autres. Et ceci passe forcément par une approche radicaliste.
Eviter de faire comme les autres c'est, donc, commencer à bâtir, dès maintenant, une conscience politique nationale qui enseignera aux uns et aux autres les principes suivants :
1) Rien de bon ne peut plus se passer aux Comores tant qu'on centralise le pouvoir à MORONI : l'autonomie large est la meilleure solution pour ces îles peut être Mayotte réintégrera ces îles sœurs sous une autre forme.
2) Le changement aux Comores ne viendra plus par les urnes.
3) Pour que les Comores changent, il faut à la nation adopter des stratégies radicales allant des méthodes subversives les plus simples aux méthodes insurrectionnelles les plus violentes, avec au passage le refus de toute compromission.
Une fois ces trois principes intégrés dans le conscient et le subconscient des Comoriens, il s'agit par la suite pour tout un chacun de commencer à penser à comment apporter sa contribution à l'idéal du changement immédiat aux Comores.
Et je commence par ma contribution.
HE IKILILOU ! ARRÊTONS LE MASSACRE : PROFITONS DE CE VIDE JURIDIQUE POUR REFONDER LA NATION COMORIENNE : ARRÊTONS WO MSSADJADJA WA VOTI :
Où est le sauveur de ce pays?
Chers politiques qu'allez vous faire de vos cerveaux
oh ! la jeunesse des Comores qu'allez vous faire de vos 25 ans.
MA CONTRIBUTION
1) Primo : il faut réformer la constitution comorienne afin de la ramener, au minimum, à celle de 1978 et 2001 telle que négociée lors des conférences nationales (MOHELI et HAMRABA), mais y ajouter des garde-fous qui empêcheraient qui que ce soit de la modifier de nouveau au gré de ses humeurs sans passer par plusieurs dispositifs de validations, dont le plus important sera le référendum.
Il faut que la population comorienne soit partie prenante à tous les niveaux de l'expression démocratique de notre pays.
2) Secundo : il faut réduire de manière draconienne les pouvoirs du président de la république, quel qu'il soit, et redistribuer la plupart de ses pouvoirs nocifs au parlement et au gouvernement, et faire en sorte que le Premier ministre ne soit plus nommé par le président, mais plutôt voté par le parlement.
Ceci permettrait, par exemple, d'éviter l'arbitraire par lequel on veut qu'aux Comores le président ne puisse nommer son Premier ministre que parmi ces vendus.
Cela, c'est le type d'arbitraire qui divise les Comoriens, parce que cela découle de charlatanismes politiques et d'incompétences notoires dans l'appréhension de la chose politique. Et voilà pourquoi ce genre d'arbitraire qui divise les Comores doit cesser.
3) Tercio : il faut donner l'indépendance totale à la Cour constitutionnelle de manière à ce que ses membres désormais non partisans soient élus par leurs pairs magistraux et les parlements insulaires et non plus nommés par l'autorité politique.
4) Quarto : il faut créer et donner une indépendance totale à une Commission électorale, de manière à ce que ses membres non partisans soient tous élus, par les parlements insulaires et confirmés par le parlement national. Ceci assurera plus d'apolitisme et de neutralité dans les processus électoraux.
5) Quinto : Sur la base d'un moratorium d'un an voté par toute la classe politique comorienne, et peut-être même par référendum, il faut faire appel à l'ONU en tant qu'organisme neutre pour venir faire un nouveau recensement de la population, établir de nouvelles listes et cartes électorales et organiser indépendamment des élections générales plus crédibles aux Comores, sans prise de part, aucune du gouvernement comorien dans ce processus, en dehors des financements nécessaires. Ceci est essentiel, chers responsables politiques.
Tant que le régime semblable à celui de SAMBI IKILILOU organisera des élections aux Comores, ce ne sera pas la peine d'espérer une quelconque démocratisation. C'est tout simplement impossible. L'ONU devient donc le moindre mal. Entre deux maux, on choisit le moindre. Il n'y a que l'ONU qui puisse aider les Comores à asseoir les bases d'une démocratisation véritable qui ne pourra que profiter positivement à la nation comorienne.
6) Sexto : je propose qu'on décrète immédiatement une transition politique sous une présidence collégiale pour conduire les réformes exigibles. Les Institutions actuelles ne peuvent qu'être mises en veilleuse dès lors qu'elles ne jouissent d'aucune légitimité, les mandats constitutionnels de leurs élus étant déchus, aussi bien celui du Président Ikililou que ceux des parlementaires nationaux et insulaires. Au bout de ce processus de réformes, qui ne devrait pas durer plus d'une année, il faudra lancer le chantier d'élections générales pour les mises en place des nouvelles Institutions conséquentes aux nouvelles réformes de l'Etat.
Ceci devra inclure l'élection plus crédible du nouveau président de la république, quel qu'il soit. Tout ce processus peut être mis en place en un an, avec des élections générales en décembre 2015 au plus tard.
Chers compatriotes, je ne parle pas au nom d'un parti politique, mais une idée, l'idée qui rassemble dans la communion de pensées tous les Comoriens de tous bords politiques, sociaux et économiques qui pensent aujourd'hui que la présidence IKILILOU doit être mis hors-jeu pour ouvrir la voie aux Comoriens de préparer leur avenir.
Si c'est IKILILOU ou un membre de son régime qui gagne une telle élection indépendamment organisée, nous nous inclinerons.
Mais pour nous et pour le peuple Comorien, procéder ainsi serait la seule manière de garantir, rapidement et concrètement, la crédibilité et la légitimité du processus électoral, du moins dans cette phase initiale.
7) Et enfin, septimo : Je propose également une réforme des Comores sur la base d'un modèle fédéral. Le système fédéral est le seul système de gouvernement adapté aux réalités des îles trop encore victimes des rivalités insulaires qui mènent au favoritisme et au népotisme. Les Comores lui-même, à cause de la tournante, le peuple est victime.
Le système fédéral que nous proposons est celui qui donnera une autonomie de gestion politique et budgétaire à chaque île des Comores et permettra aux natifs de cette île d'élaborer eux-mêmes des plans de développement adaptés à leurs régions dans le cadre d'une politique insulaire gérée par des cadres et responsables politiques locaux ou affiliés.
En décentralisant le pouvoir politique et économique par la création de gouvernorats autonomes qui, sous le contrôle indirect du pouvoir central, seront de mini états dans l'état, le développement des Comores sera assuré à partir des îles pour les îles et non plus dépendant d'un gouvernement central qui a tendance à succomber aux lourdeurs politiques qui peuvent immobiliser tout un pays.
Dans ce nouveau système, le rôle du gouvernement central et du parlement central sera tout simplement de répartir les budgets insulaires sur base d'allocation annuelle et aussi sur base de projets de développement soumis par les gouvernements insulaires.
Ainsi les gouvernements insulaires deviendraient capables d'assumer directement la gestion du développement des îles en fonction des besoins de leurs régions.
Les élections générales aux Comores, sous ce modèle, deviendraient donc à la fois nationales pour l'élection du président et du parlement central, et locales pour l'élection des gouverneurs et des parlements insulaires.
Les effets bénéfiques de la réforme proposée permettraient ainsi de créer des emplois et des industries nouvelles dans les îles en fonction des besoins définis par les élus locaux de ces îles, tout en permettant de désengorger MORONI par le retour dans les îles des esprits inspirés par les nouvelles possibilités économiques disponibles dans les îles.
Cela occasionnera aussi une nouvelle forme de mobilité économique nationale qui permettra au génie de chaque île de s'exprimer plutôt que de tout attendre du gouvernement central.
On pourrait alors voir, par ce modèle, les îles multiplier la richesse nationale en faisant fructifier leurs budgets grâce à des initiatives locales et des systèmes de taxation locaux.
Il ne serait pas alors impossible de voir des îles doubler ou tripler leurs budgets, contribuant ainsi à l'accroissement vertigineux de la richesse nationale.
Au passage, nos cultures en bénéficieront grandement car le retour des jeunes dans leurs îles et dans leurs régions revitalisera nos cultures qui se perdent de plus en plus.
Voilà, Mesdames et messieurs, ma réflexion pour les Comores.
Cinq ans, c'est tout ce qu'il faudrait pour redresser ce pays et le mettre sur la pente du développement durable si une telle réforme était appliquée dès aujourd'hui.
Mais la vraie question que nous devons tous nous poser est la suivante : qu'est-ce que nous sommes tous prêts à faire pour rendre ce projet de redressement national possible ?
Mesdames et Messieurs, est-ce que vous êtes prêts à sauver ce pays de l'inertie de cette présidence, sachant qu'en sauvant ce pays, vous vous sauverez vous-même ?
Voulons-nous réellement des Comores avec un président incompétent qui régnerait sans boussole ?
Voulons-nous vraiment des Comores avec un président incompétent qui régnerait sans matelots qui réfléchissent ?
Changer les Comores relève de la responsabilité collective. Une seule personne ne pourra pas le changer.
Pour mériter les Comores que nous voulons, c'est ensemble que nous devons le conquérir et le construire.
A chaque fois que nous accepterons de participer aux manifestations organisées par ce régime, nous nous ferons complices de notre propre mort.
A chaque fois que nous accepterons un sac de ciment, une enveloppe, un poteau électrique, un sac de riz, des cuisses de poulets, un centime d'un membre du régime, nous aurons contribué à tuer nos propres enfants car l'argent qui achète ce SAC est celui qui aurait pu acheter des médicaments dans les hôpitaux et sauver nos pères et nos mères.
Quand un politique vous donne UN SAC de riz ou de ciment pour acheter votre vote, ne voyez pas juste LE SAC. Sachez par exemple qu'IKILILOU SAMBI dépensent sur tout le territoire national et à l'étranger près des 10 millions par an pour vous corrompre. Certains d'entre vous ne voient que le sac de ciment et la cuisse de poulet qu'ils prennent, mais ils ne se rendent pas compte qu'en acceptant ce sac, vous avez contribué à priver votre pays des millions d'euros. Qui auraient pu construire les routes, les écoles, les hôpitaux.
C'est la corruption politique qui coûte le plus cher aux Comores avec les délégations des notables à la présidence ou être nombreux dans les meetings : aujourd'hui et chacun d'entre nous en est un peu responsable.
Et entre temps, le pays souffre. Et pourtant, nous pouvons lui dire que nous ne voulons plus le sac de ciment, que nous voulons le développement du pays et que s'il y a des millions à dépenser chaque année pour corrompre chacun d'entre nous avec un sac de ciment, il lui suffit de diviser ces millions par trois et donner chaque année quelques millions à chaque île dans le cadre d'un développement décentralisé et le pays ne s'en porterait que beaucoup mieux.
Je vous invite donc dès aujourd'hui à un pacte national, chers responsables politique.
A partir d'aujourd'hui, jurons que nous refuserons le sac de ciment, le sac de riz et le voyage à Dubaï de tout homme politique car les accepter, c'est dire aux hommes politiques de continuer à piller les Comores et à tuer nos enfants qui ne peuvent pas trouver des médicaments dans les hôpitaux parce que cet argent est ce qui a acheté le sac de riz consommé.
Disons non au sac de riz pour ne pas nous faire complice de la mort de nos propres familles.
Disons tous ensemble que nous jurons de ne plus vendre nos vies et celles de nos enfants en prenant le carton de cuisse de poulet.
Jurons que nous ne voulons plus vendre l'avenir de notre pays pour un carton de cuisse de poulet.
Et appelons à l'unité citoyenne les Comoriens et comoriennes qui croient encore à l'espoir, aux valeurs qui élèvent les sociétés.
Chers compatriotes, je ne parle pas au nom d'un parti politique, mais une idée, l'idée qui rassemble dans la communion de pensées tous les Comoriens de tous bords politiques, sociaux et économiques qui pensent aujourd'hui qu'IKILILOU doit être hors-jeu et préparer l'avenir.
Si aux Comores aujourd'hui, vous êtes ministre et vous pensez que ce que vous faites au sein du gouvernement
Comorien tue le Comorien, alors vous embrassez mes idées démissionnez et rejoignez nous dans ce combat qui est le votre pour un changement positif aux Comores.
Si vous êtes Directeur et vous pensez que IKILILOU SAMBI ont tué les Comores et vous voulez leur départ, alors rejoignez nous.
Si vous êtes un étudiant qui, après avoir regardé son pays avec des yeux d'intellectuel, réalise combien de mal
IKILILOU SAMBI ont fait aux Comores Rejoignez-nous.
Si vous êtes un paysan trimant sous le soleil et imaginant la possibilité des Comores nouvelles pour vous-même et
pour vos enfants, rejoignez-nous.
Si vous êtes un militaire, un policier, un gendarme à qui IKILILOU demandera demain à 20h d'éteindre les lumières pour changer les urnes parce qu'il veut rester au pouvoir et vous pensez qu'une telle chose ne peut être tolérée, alors rejoignez-nous.
Chers compatriotes, rassemblons-nous pour la nouvelle république des Comores
Chers Compatriotes,
L'article 35 de la Déclaration française de droits de l'homme et du citoyen de 1793 est clair. Cet article dit
Clairement que "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour
Chaque portion du peuple, le plus sacré et le plus indispensable des devoirs".
J'ai fait de cet article mon credo. Les Comores sont en situation de légitime défense car les forces du mal, pendant 40 ans, ont meurtri notre pays.
Il nous faut désormais un engagement citoyen d'une autre nature. Nous ne devons plus obéir à des lois bâties sur l'égo
Je lance l'appel du changement immédiat et ensemble, nous serons au rendez-vous de l'histoire.
Cet appel, répondez-y en masse quand il vous sera lancé.
Mais dès aujourd'hui, chacun d'entre nous se doit de commencer le processus. La bataille sera rude et certains d'entre nous en souffriront.
Mais à la fin, c'est le peuple Comorien dans tout son ensemble, qui vaincra.
N'oubliez jamais nous sommes riches en hydrocarbure mais aussi très riche spirituellement.
Vive l'autonomie des îles.
Vive la nouvelle république des Comores
Professeur BASHRAHIL Mohamed Farid