samedi 9 août 2014

Les passeports Comoriens sont dans les prisons du Guatemala



Merci Ahmed Sambi: les passeports comoriens sont dans les prisons du Guatemala

La plupart des dealers du Guatemala emprisonnés ont des passeports de l’État comorien

Par ARM
   
Même quand Ahmed Sambi sera mort et enterré, son cadavre continuera à bouger, tant les méfaits qu’il a commis sur le dos de l’État et du peuple des Comores sont incommensurables. Ceci est d’autant plus vrai qu’aujourd’hui, on apprend avec horreur et douleur que la plupart des trafiquants et vendeurs de drogue jetés dans les prisons du Guatemala ont des passeports comoriens. Oui, des passeports comoriens. Dans les prisons du Guatemala, un pays d’Amérique latine. Un pays sans relation avec les Comores. Où la population ne sait même pas que les Comores existent. Cette horreur est signée: Ahmed Sambi. C’est lui qui a introduit aux Comores ce crime d’État, qu’il a stupidement baptisé «Citoyenneté économique», et ce, sur la base d’une loi tronquée, qui n’a même pas été votée par l’Assemblée de l’Union des Comores. Les Comoriens l’ont regardé et écouté avec tout le mépris dont ils sont capables quand il a récemment versé des larmes de crocodile en disant que quand il circule à Dubaï, où il a acheté deux immeubles avec l’argent volé au peuple comorien, il voit les passeports comoriens se vendre comme des pains. N’est-ce pas son «œuvre» et pourquoi s’en offusque-t-il? C’est lui qui a ramené cette horreur aux Comores et il doit au moins avoir la décence de se taire pour une fois au lieu de divaguer comme à son horrible et insupportable habitude. La grande erreur commise par Ikililou Dhoinine a été de continuer à vendre les passeports comoriens à des étrangers sans attaches avec les Comores, en partie pour renflouer les caisses de l’État, et en partie pour la beauté et la consistance du bas de laine d’autorités cupides, qui veulent devenir riches à la vitesse de la lumière. Si les autorités veulent comprendre le danger résidant dans ce trabendo officiel de passeports, elles doivent obligatoirement savoir qu’on ne vend jamais un passeport et qu’on ne le remet jamais entre les mains d’un inconnu. Si les Comores étaient un pays normal, il y a longtemps qu’Ahmed Sambi serait en train de méditer sur son sort dans une cellule de prison, au lieu de pourrir la vie des Comoriens avec ses stupides prétentions présidentielles et de Guide suprême comme si les Comores pouvaient se transformer en République islamique d’Iran.


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